En 1910, sept hommes se rencontrèrent sur l'île de Jekyll, au large des côtes de la Géorgie, aux États-Unis, pour mettre au point l'avènement de ce qui allait devenir la banque "nationale" américaine : la Federal Reserve. Nelson Aldrich et Frank Valderclip représentaient l'empire financier des Rockefeller. Henry Davidson, Charles Norton et Benjamin Strong représentaient J.P. Morgan. Paul Warberg représentait la dynastie européenne de la Banque Rothschild.
Habituellement en concurrence acharnée, ils firent cette fois cause commune. Ces trois puissantes familles étaient en réalité, sans le savoir, sous le contrôle de l'Ordre des Illuminés de Bavière, ceux que l'on a vulgarisés sous le nom d'illuminati. Et ce sont ces illuminati qui, après avoir fait acheter la White Star Lines par J.P. Morgan, ordonnèrent, en 1909, la construction du Titanic pour une raison que nous allons bientôt comprendre.
Depuis le tout début, le luxueux paquebot était voué à un destin funeste. Il se trouvait qu'un certain nombre de personnages influents n'étaient pas favorables au projet de création de la Federal Reserve. Benjamin Guggenheim, Isaac Strauss et John Jacob Astor s'opposaient à sa formation. Non seulement ces hommes – indiscutablement les plus riches au monde – étaient contre l'institution de la Federal Reserve mais, en outre, ils auraient usé de leur richesse et de leur influence pour faire éviter la Première Guerre Mondiale.
On leur déroula le tapis rouge afin qu'ils embarquent pour le voyage inaugural du plus grand navire jamais construit. La campagne en faveur de « l'insubmersibilité » du Titanic promettait aux passagers un haut niveau de sécurité. Il fallait, en fait, que l'élimination du trio Guggenheim-Strauss-Astor ait lieu d'une manière si absurde que personne ne puisse penser à un meurtre.
Le capitaine du Titanic s'appelait Edward Smith. C'était un initié illuminati qui travaillait pour J.P. Morgan. Lorsque le navire appareilla de Southampton, dans le Sud de l'Angleterre, un photographe irlandais du nom de Francis Browne, prêtre jésuite, se trouvait à bord pour la première partie du voyage entre Southampon et Queenstown, en Irlande. Celui qui deviendra l’une des personnalités les plus puissantes de l'Irlande était le maître spirituel d'Edward Smith. Francis Browne profita de la première partie de la traversée pour photographier les victimes. Il en profita probablement aussi pour rappeler au capitaine les implications de son serment et, le matin suivant, lui souhaita bon vent…
Le capitaine Smith avait une foi inébranlable en son supérieur. Browne l'instruisit sur ce qu'il devrait faire une fois rendu dans les eaux de l'Atlantique Nord. Cela faisait 26 ans que le capitaine Smith voyageait dans l'Atlantique Nord. C'était le plus grand spécialiste au monde de ces eaux froides. Le capitaine savait très bien pourquoi ce navire avait été construit. Il avait toujours été convenu qu'il coulerait lors de son premier voyage. Par une nuit sans lune, il donna, en secret, l'ordre de propulser le Titanic à pleine vitesse, soit 22 nœuds, à travers une gigantesque zone de glace d'une surface de 80 miles carrés ! Il savait parfaitement qu’il s’y trouvait des icebergs. Il avait reçu des ordres et rien ne l'aurait fait dévier de sa mission.
Les agissements du Capitaine Smith au cours de ses dernières heures ne furent pas dignes de sa fonction. Il semblait toutefois lutter contre sa conscience. Devait-il se conduire en brave capitaine, ou obéir à son maître et couler le navire ? On avait fait en sorte qu'il n'y ait pas assez de canots de sauvetage. Dès la collision, la plupart des canots furent mis à flot avec seulement quelques passagers à leur bord : des femmes et des enfants. On envoya des fusées éclairantes blanches. Or les bateaux qui croisaient à proximité pensèrent qu'il y avait une fête à bord puisque les fusées de secours sont habituellement rouges.
Ces exemples n'illustrent pas l'arrogance d'un équipage qui croyait le Titanic insubmersible. Non ! Ces défaillances étaient programmées. Ces riches parmi les riches qui s'opposaient à la mise en place de la Federal Reserve périrent au beau milieu des classes moyennes et défavorisées. Le navire insubmersible, le palace flottant avait été conçu pour devenir leur tombeau.
Le naufrage du Titanic reste peut-être le plus grand désastre du 20ème siècle, après les deux guerres mondiales. Le 14 avril (la même date que celle de l'assassinat d'Abraham Lincoln) de l'année 1912, le Titanic heurta un iceberg et toute opposition à la Federal Reserve fut gommée. En décembre 1913, l'institution bancaire vit le jour aux États-Unis. Huit mois plus tard, grâce à la Federal Reserve, les illuminati disposaient de suffisamment de fonds pour déclencher la Première Guerre mondiale.
Source: centre de recherches sur l'ordre mondial
Extrait de L'emprise occulte de l'argent