Qu’est-ce au juste le subconscient
http://nuevomouni.voila.net/subconscient.html
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Le subconscient est nous-même, mais nous ignorons qui il est, qu’il est nous, et cependant il est là, il veille, il n’attend qu’une chose : qu’on fasse appel à lui !
Vous pouvez, dans votre vie faire en sorte que tout change, que tout devienne merveilleux, il faut avoir la foi, croire que le subconscient peut tout changer en bien.
Gagnez davantage d’assurance sur vous-même en sachant que votre subconscient est la bibliothèque du savoir. Il enregistre tout, le moindre geste, le moindre événement, rien ne lui échappe. Il est en relation constante avec vos sens, c’est lui qui les contrôle sans même que vous le sachiez ! C’est encore lui qui gère nos fonctions organique, notre santé, nos élans, nos envies, nos angoisses. Il est en arrière de nous, il guette vos suggestions, bonnes ou mauvaises et les réalisent.
Dans les profondeur de votre subconscient se trouve une sagesse infinie, une richesse sans limite de tout ce qui est nécessaire à votre vie. Reconnaissez aujourd’hui ces potentiels de votre esprit, elles prendront forme dans le monde extérieur. Cette intelligence infinie de votre subconscient peut vous révéler tout ce dont vous avez besoin de savoir à chaque instant, à chaque moment où que vous soyez, pourvu que ayez l’esprit ouvert et réceptif.
Le monde intérieur de la pensée est un univers que peu de gens connaissent. C’est un univers qui est en nous et pour l’atteindre il suffit simplement de s’y rendre. Bien que nous ne puissions pas voir avec les yeux du corps cette force à l’œuvre, nous pouvons cependant l’atteindre grâce au pouvoir de la foi et de la communication.
Communiquez avec votre subconscient, parlez avec lui, c’est déjà réaliser un énorme changement dans sa vie. C’est soudainement comprendre que nous ne sommes pas seul au monde, que dans les instants de solitude, il est là, à nos côtés, il nous est si proche que nous ne savons même pas qu’il est là, qu’il veille comme une mère poule sur son poussin !
Lorsque j’étais incarcéré, j’ai réalisé, ô combien il était si proche de moi ! J’ai réalisé comment il me consolait, et ce, depuis tant d’années déjà, mais c’est là, dans ma cellule que j’ai pris conscience de sa présence, de son existence de sa mansuétude à mon égard, alors que tous me jetait la pierre, que tous m’accusait, lui il me consolait, me rassurait et me disait de garder l’espoir ! Qu’il allait me sortir de là ! Je l’ai cru, je n’ai pas douté que cela lui ne lui était pas impossible et je suis sorti de ce pétrin.
Combien de fois ne l’ai-je pas vu à l’œuvre. J’étais sourd, même un appareil auditif ne pouvait m’aider. Un jour alors que je faisais ma culture physique, j’ai ressenti comme un choc dans la tête et brusquement j’ai réentendu. Ce n’était pas l’audition parfaite, mais j’entendais suffisamment pour me passer d’une prothèse. Les médecins qui m’examinèrent n’en revinrent pas ! Ils me dirent qu’ils ne comprenaient pas, qu’en principe un tel prodige ne pouvait s’accomplir. Le fait qu’il n’y avait plus d’osselets pour transmettre le son mécanique vers le nerf auditif relevait du miracle ! Mais moi je savais, car j’avais demandé à mon subconscient de réentendre ! Je lui disais : « Tu es la force infinie en moi, tu peux tout, moi je ne peux rien ! Je remets mon fardeau entre tes mains guéris-moi, je sais que tu en as le pouvoir et par la sagesse infinie qui est en moi, réalise mon bonheur et je réentend !. Je remets cette requête à mon esprit subconscient et je le remercie pour la réponse parfaite ». Et je réentendis.
Je voulais voyager dans l’astral, il y a de nombreuses années de cela, j’avais vingt-quatre ans. J’ai dit à mon subconscient : « Je veux sortir de mon corps de chair, je veux voyager consciemment dans le monde astral et me souvenir de tout ce que j’y fais et de ce que j’y vois, je n’oublierai rien ». Et je suis sorti de mon corps physique et j’ai voyagé et je voyage encore et encore. Si j’ai atteint la paix intérieure, c’est parce que j’ai réalisé l’unité avec mon esprit subconscient il est moi, je suis lui.
Après mon divorce, j’ai dis à mon subconscient : « je désire au plus profond de moi-même rencontrer la femme qui correspond à mes aspirations profondes, nous sommes des âmes sœurs et nous nous aimons, nous donnons et nous recevons notre amour réciproque en échange. J’attire à moi cette femme et elle vient à moi. Par la sagesse infinie qui est en moi, cette femme est irrésistiblement attirée vers moi. Elle vient et me rend heureux, car j’ai beaucoup d’amour à lui donner. Je donne et je reçois. Je remets cette requête à mon esprit subconscient qui sait comment réaliser mon bonheur dans le monde extérieur et je rends grâce pour la réponse parfaite ». Un jour alors que je ne m’y attendais pas, j’ai rencontré ma future épouse et nous nous sommes immédiatement senti attiré l’un vers l’autre. Je savais qu’elle était la femme avec qui j’allais unir ma vie à la sienne et c’est ce qui est arrivé.
J’avais perdu tous mes biens, il ne me restait plus rien ! Ma mère dû me loger, car même mon salaire était saisi en partie et ne me permettait pas de payer un logement. Ma mère m’a aidé en me nourrissant et je n’aurais de cesse de la remercier pour ces bienfaits qu’elle me prodigua.
Mes pensées, je les tournai vers mon esprit subconscient et je lui dis qu’il pouvait me tirer de ce mauvais pas que j’avais besoin d’argent pour m’en sortir et il répondit à mes attentes. Je reçus de l’argent, beaucoup d’argent qui me permis de payer les créanciers et ainsi pouvoir me sortir de ces mauvais draps. Ma maison fut vendue promptement dès l’instant où l’affiche fut mise à la devanture de la fenêtre. Une heure plus tard je trouvais un acquéreur !
Tout fut fait pour m’aider et tout fut réglé sans problème. C’était comme si une force bienveillante s’activait à tout me faire réussir et je réussissais avec une facilité déconcertante.
Incroyable qu’est la force du subconscient, elle peut tout et tout peut se réaliser, mais il faut la foi ! Il faut y croire ! Il faut croire en son subconscient et vous verrez comment il peut tout transformer dans votre vie. Si cela m’est arrivé, pourquoi pas à vous ?
D’autres ont mis en action la force du subconscient, ils ont vu leur vie changer du jour au lendemain. Mais encore une foi, il faut la foi, car la foi peut déplacer des montagnes.
Vous pouvez passer des heures et des heures à méditer sans rien trouver d’autres que l’ennui !
Si un homme ou une femme réalise que l’esprit profond peut tout, qu’il est la force omniprésente en nous, alors la méditation deviendra une joie, des instants agréables, car vous entrerez dans le monde du subconscient, vous pourrez entrer en contact direct avec lui, en faire un allié, un ami, le meilleur qui soit. Mais pour cela, il faut travailler ses pensées.
Nous sommes des êtres vivants et nous cultivons des habitudes. Si nos habitudes sont mauvaises, le subconscient qui est l’archiviste des habitudes, aura une tendance naturelle à les reproduire sans même que vous ne le sachiez, en d’autres mots, sans que vous en soyez conscient !
Si vos pensées sont pessimistes avec des tendances douteuses, le subconscient fera en sorte que tel vous pensez, tel vous soyez !
J’ai pu me rendre compte de cela et j’ai changé mon mode de pensée en créant des pensées positives, j’ai vu des événements négatifs se transformer en événements positifs. Pour cela il faut créer de bonnes pensées, car le subconscient n’est pas seulement tissé d’habitude, mais aussi créateur. Il a un tel pouvoir de créer des schèmes de vous les faire parvenir dans le champ de votre conscience comme des formes pensées, qu’il vous est impossible de discerner si c’est vous (conscient) qui les imager, car ces images viennent subrepticement sans même vous en rendre compte. Il est important de surveiller ses pensées, de les analyser en évitant le négativisme sinon il créera ce que vous êtes habitué à penser.
Je connais des personnes qui pensent qu’ils ne sont rien, que leurs ennuis sont sans solutions. Quelquefois ces personnes pensent qu’ils sont les auteurs de leurs ennuis. Ils ignorent complètement le processus mental, les opérations booléennes auxquelles le subconscient se livre pour réaliser leur désir tant positif que négatif. Mais ces personnes ignorent qu’ils sont tributaires de leur propre manière de pensée, ils méconnaissent que leur subconscient ne fait que répéter les vieilles habitudes.
Il faut créer l’attention, l’éveiller en sorte que nous prenions conscience de nos actes. En prenant conscience de nos actes, nous émettrons des pensées positives et le subconscient effacera tout naturellement les anciennes pensées pour les transformer en bonnes pensées. Au lieu de regarder la vie comme étant faite de haut et de bas, considérez là comme un tout, comme un lac sans ride. Pensez que vos ennuis ne sont que des instants et qu’ils ont eu un commencement, ils auront également une fin. Pensez que vos ennuis ont pris fin et dites-le clairement à votre subconscient que tout est équanimité et répétez cela plusieurs fois de suite, car c’est par la répétition que le subconscient acceptera de transformer ce qui est négatif en positif.
Une chose est certaine, si vous conscient vous pensez d’une certaine manière, l’esprit profond lui, obéira à la manière dont vous pensez.
C’est une loi et cette loi s’appelle foi !
Il faut croire en ce que vous faites, si vous doutez, le doute l’emportera et l’échec sera assuré. Comment croyez-vous que les athlètes font ? Ils se concentrent, leur entraîneur leur dit qu’ils sont les meilleurs, qu’ils sont nés pour vaincre et qu’ils gagneront et ils gagnent, car ils ont convaincu l’esprit profond qu’ils étaient les meilleurs, les vainqueurs, et vainqueurs ils le sont !
Soyez assuré que si vous pensez le contraire, vous serez médiocre, malchanceux, bref : des perdants.
Soyez des vainqueurs, convainquez-vous que vous êtes le ou la meilleur, que vous êtes nés pour vaincre et non pour perdre et si vos pensées sont déterminées, si elles sont bien dirigées, vous serez des vainqueurs et non des perdants.
Si vous êtes facilement influençable, si l’opinion d’autrui a sur vous une incidence, soyez convaincu que vous serez dépendant d’autrui !
Vous serez à leur merci et votre esprit profond obéira par automatisme à leurs suggestions. Au contraire, libérez-vous de l’influence des autres et soyez indifférent à leurs suggestions. Suivez votre propre chemin, soyez votre propre vérité, votre propre flambeau, votre propre vérité et sûr que vous connaîtrez la paix intérieure.
Le subconscient réalisera vos souhaits, car tel vous pensez, tel vous serez ; n’oubliez jamais cela !
Ce que les autres pensent de vous, ne sont que des formes pensées extérieures qui n’ont pour but que de créer des liens. Soyez libre de tous liens, car les liens vous enchaînent aux autres, ce n’est pas de la solidarité, mais de la co-dépendance. Combien de gens ne vivent-ils pas ainsi ? Ils sont plus nombreux que vous le pensez ! Peut-être êtes-vous l’un ou l’une d’entre eux ? Alors libérez-vous et soyez votre propre maître, parlez à votre subconscient, faites-en votre allié et il deviendra votre ami le plus cher qu’il soit, car il sera toujours à vos côté, toujours prêt à vous aider dans les moments pénibles. Il fera en sorte d’atténuer ces mauvais moments. Laissez-lui le temps ! Soyez patient, car de votre patience naîtra le bonheur intérieur.
Lorsque je voyageais hors de mon corps, je constatais que je n’étais jamais seul. J’avais toujours le sentiment que quelqu’un me suivait comme l’ombre suit le promeneur.
Un jour je décidai de me tourner vers cet être que je devinais plus que je ne voyais. Et je l’ai vu, il était moi, mon Moi ! Ainsi je l’ai laissé me guider, il est le meilleur guide qui soit, le tout est de le comprendre, d’en prendre conscience, de ne pas le fuir !
Si vous sortez de votre enveloppe de chair, vous aurez cette sensation d’être accompagné, ne vous effrayez pas, c’est votre subconscient qui vous suit, il veille sur vous comme un père bienveillant surveille son enfant. C’est le sentiment que j’ai ressenti lorsque je l’ai perçu.
Vous êtes le penseur, lui il est l’exécuteur de vos ordres.
En me rendant compte de sa présence et en me tournant vers lui, nous nous sommes unis et de cette union est né la réalisation du Moi.
L’ego est solitaire, l’ego...ïste qui pense qu’il peut tout par ses propres œuvres est un insensé, car tôt ou tard un tel individu sera confronté à la souffrance, au chagrin, au deuil, à la vieillesse et à sa propre finalité.
L’ego pense qu’il sait alors qu’en fait il croit savoir, mais à la vérité il ne sait rien !
Le monde moderne devrait par les découvertes des chercheurs, trouver le bonheur absolu, en est-il ainsi ? Non !
La science pourrait conduire au bonheur, mais ce n’est pas le cas, car si tel était le cas, nous vivrions dans un monde heureux !
Les gens sont rarement satisfaits, car dès qu’ils ont de nouveaux désirs naissent en eux et les font désirer encore et encore. Leurs pensées non contrôlées se tournent vers d’autres objets à acquérir, à désirer. Leur mental est comme un vieux singe qui va de liane en liane en cherchant l’arbre qui lui convient, mais chaque arbre est semblable au précédent et le mental est comparable à ce vieux singe. Mental égal ego, cela conduit nulle part qu’à l’insatisfaction. Plus on a, plus on veut, mais on ne peut pas tout avoir, se contenter de ce que l’on a et s’en satisfaire est déjà une victoire ainsi l’esprit profond est dégagé et sera mieux réceptif à vos formulations et travaillera pour votre bonheur, il créera la joie et chaque matin sera un jour ensoleillé, même s’il fait mauvais ou que le ciel est chargé de lourds nuages gris.
Mais si le doute est en vous, si vous remettez chaque fois en question vos potentiels qui sont en vous, le subconscient agira dans ce sens, car il ne fait pas la distinction. Pour lui vos pensées, celles qui sont dominantes sont celles qui prévalent pour votre esprit subconscient et donc il travaillera toujours dans le sens de vos pensées, celles qui prévalent dans le cours de votre existence.
Lorsque j’ai rencontré mon épouse, celle qui vit aujourd’hui avec moi, elle était anxieuse, inquiète et avait une tendance à la déprime. Il y a six ans de cela. Sa famille à l’époque l’a rejetée, ses fils vivent à douze mille kilomètres d’elle. Tout était fait pour la rendre malheureuse et déprimée. Elle perdit son emploi en plus de toutes les misères qui lui tombaient dessus. Je lui ai dit : « Tant que tu continueras à penser négativement, ta vie sera négative. Je lui ai enseigné la manière de parler à son subconscient, mais elle douta et sombra dans la dépression profonde. Malgré cela, j’ai continué à la guider, j’ai parlé jusqu’à l’extinction de ma voix, adoptant une fermeté, mais également, lui prodiguant de l’amour et de la tendresse. Ma famille l’aida aussi, surtout ma plus jeune fille, elle me conseilla, eh oui, et pourquoi pas !
Ainsi, durant quatre années, mon épouse travailla d’arrache-pied à parler à son subconscient, mais elle ne voyait pas de résultat. Je lui ai dit : « Persévère, car tout arrive à celui qui sait attendre ! » Et il y a peu, elle rentra déprimée de son travail, me disant qu’elle ne pourrait jamais se faire au contact des autres. Alors j’ai pris un ton résolument ferme et je lui ai dit que cela suffisait, que c’était elle qui se fermait aux autres, que c’est elle qui affichait de la réserve, qu’elle était l’auteur de ses propres actions et qu’elle devait absolument s’en rendre compte. Et elle s’en est rendue compte, elle a su établir le contact avec son subconscient.
Après cinq années d’efforts. Cinq années de combat contre elle-même, ma femme est arrivée sortir du labyrinthe, à se retrouver et en se retrouvant elle sut qu’elle pouvait compter sur l’aide de son subconscient, car tous les jours elle faisait ses exercices et les résultats furent spectaculaires. Elle perdit sa réserve et maintenant elle constate que beaucoup de gens ont changé vis-à-vis d’elle. Ils adoptèrent une attitude toute différente et les contacts humains se sont établis pour sa plus grande joie.
Le subconscient est habitude. Je me répète, mais c’est ainsi, il faut se répéter sans cesse qu’il est la force agissante en nous, qu’il est le MOI profond, qu’il a la faculté de tout réaliser ce qui est souhaitable pour notre bien être. Mais attention, il peut aussi faire tout le contraire de ce qui vient d’être dit, car à contrario, le subconscient peut prendre pour vrai ce qui est faux et inversement ! Il ne faut jamais perdre de vue qu’il réagit selon nos pensées et tend toujours à les reproduire par habitude.
C’est un fait qu’il ne peut de lui-même changer votre façon d’être. C’est vous qui êtes dans le monde phénoménal, pas lui ! Lui il est l’esprit profond, l’Être intérieur, c’est lui qui gère les fonctions du corps physique et astral, mais n’est pas concerné par les actions elles-mêmes. Les actions c’est la volonté consciente qui les accompli, si le subconscient intervient dans la manière d’agir, c’est le plus souvent pour reproduire des gestes, des expressions, des pensées dont on a adopté l’habitude.
En sommes-nous vraiment conscient ? Pas nécessairement vrai !
Pour que le subconscient commence à devenir notre allié, il faut commencer par prêter une attention soutenue à nos moindres faits et gestes, aussi à notre manière de s’exprimer, à notre manière d’être. « Oh là, là ! Diront certains, c’est beaucoup de choses à faire… » Oui certes, mais cela vaut la peine d’essayer et de s’y mettre, car les résultats vous stupéfieront.
Pour bien faire comprendre ce que sont le conscient et le subconscient, imaginez que vous soyez un jardinier, vous plantez toute la journée des graines (pensées) dans le jardin de votre subconscient. Vous allez récolter dans votre organisme et dans votre vie ce que vous semez dans votre subconscient.
Pour bien faire et obtenir de bonnes semences commencez à semez des pensées de paix, de bonheur, de bonnes actions, ayez de la bonne volonté, ne rouspétez pas quand quelque chose vous contrarie ou vous énerve. Au contraire, prenez ça à la légère, souriez au lieu de grimacer un rictus de contradiction.
Pensez tranquillement à ces qualités et avec une attention soutenue aux bienfaits que cela vous procurera. Pensez à la prospérité, soyez optimiste en toutes circonstances et quand le ciel s’assombri ne courrez pas vous abriter, mais au lieu de cela, dansez sous la pluie comme dans le film avec Gene Kelly « I’m singing in the rain ». Acceptez ça dans votre esprit conscient, celui qui raisonne : c’est vous !
Continuez de planter de bonnes graines pensées ou formes pensées, il est plus juste de les appeler « formes pensées », car elles vont prendre formes dans l’esprit subconscient. Il va s’en imprégner par le fait que vous vous convainquez que c’est bon pour vous et non mauvais. L’esprit subconscient réagit à vos sollicitations et tend toujours à reproduire de façon automatique ce que vous semez dans son jardin. Est-ce que vous comprenez ?
C’est pourquoi il est essentiel de diriger ses pensées de manière constructive, à ne créer que des conditions désirables, à ne pas douter de nous même. Lorsque votre esprit conscient, autrement dit vous, vous comprendrez l’importance correcte des pensées que vous déposez dans le subconscient, elles sont constructives, harmonieuses, paisibles, le subconscient créera ces conditions, il répondra et les produira. Lorsque vous commencez à contrôler vos pensées, vous êtes à même d’appliquer les pouvoirs de votre esprit subconscient qui solutionnera tous les problèmes, toutes les difficultés. Vous serez en collaboration étroite avec l’esprit subconscient, et sa puissance infinie vous submergera dans son infinie bonté, vous deviendrez bon, compatissant, votre regard sera doux et vous serez tolérant, car vous aurez compris que rien ne peut s’obtenir sans aide.
Nous sommes solidaire les uns des autres, nous avons besoins des uns et des autres, ainsi sommes nous solidaire de notre esprit subconscient !
Une personne influençable dira : « Non je ne peux pas boire du café avant d’aller me mettre au lit ! » Supposons que pour une raison ou l’autre cette personne boit du café avant de se mettre au lit, le subconscient dira : « Non tu ne dormiras pas, car le « boss » ne veut pas que tu dormes ! »
La personne en sera quitte pour passer une nuit blanche. C’est l’intention de vos pensées qui comptent. C’est la manière de formuler vos pensées, en harmonie avec la conviction qui va induire le subconscient à agir comme vous le désirez. Si vous vous dites : « Oh je ne réussis jamais rien, je ne suis pas capable, mais les autres oui… » Il est sûr que votre esprit subconscient prendra cette affirmation pour vraie et fera en sorte que vous soyez quelqu’un de veule, de timoré qui ne réussi rien et vous apparaîtrez comme un être velléitaire. Au contraire, si vous dites en vous-même avec convictions : « Je suis capable, je suis le meilleur, je n’ai rien à envier aux autres et je réussi ce que j’entreprends ! » Votre esprit subconscient se mettra immédiatement à pied d’œuvre et vous verrez votre vie changer, et ce, en un court lapse de temps. La condition pour que cela réussisse : il faut être ferme dans ses convictions que vous soyez fermement convaincu de votre réussite, le moindre doute…et le vent emporte tous !
Un jardinier serait une personne insensée de vouloir semer des graines dans un jardin en friche ! Tous le monde se moquerait de lui et lui dirait : « Oh jardinier, va apprendre ton métier avant de vouloir semer ! » Ce serait une vérité et non une moquerie. Un jardinier sait qu’il doit d’abord défricher le terrain puis retourner une première fois la terre, puis la chapeauté en y mettant du composte et laisser un hiver passé afin que la terre absorbe le composte et ensuite au printemps, le jardinier laboure le terrain et y trace des sillons pour y recevoir les graines. Est-ce une perte de temps ? Il faut de la patience et le jardinier en a à revendre ! Quand il songe aux belles roses, aux belles plantes aux beaux arbres qui s’y épanouiront sa patience se voit récompensée.
La pire des choses pour un homme ou pour une femme est sans nul conteste le doute ! Il peut être le pire ennemi, car non seulement il fait douter de tout, mais il fait perdre les neuf dixième de nos moyens. Par le doute on arrive tout simplement à ne plus être soi-même puisque nous doutons de nos possibilités. Bien entendu, il y a des circonstances où le doute s’insinue comme un serpent tapi prêt à mordre à la première occasion. J’ai vu au cours de ma vie beaucoup de gens douter, j’ai vu des gens douter de tous et même d’eux-mêmes, ce n’est pas peu dire !
Je me souviens quand j’étais sauveteur à la Protection Civile, la première fois que nous allions affronter un feu, l’instructeur nous disait : « Messieurs, le feu est vivant ! » Nous, nous regardions avec des regards en coulisse, avec incrédulité, et lui indifférent à nos sourires en coin il poursuivait : « Si vous avez peur du feu, ce qui est tout à fait naturel pour le commun des mortels… » Et il nous considérait d’un air grave et il monta le ton pour bien se faire comprendre, « …mais vous ! Vous n’êtes pas du commun des mortels, vous êtes des sapeurs pompiers, des soldats du feu et vous êtes payé pour vous battre contre lui ! Souvenez-vous en, bande de poltrons… » Nos sourires avaient disparus, nous étions devenus brusquement des petits hommes craintifs, car nous prenions conscience soudainement que nous étions des hommes tout simplement, avec la peur dans le ventre et nous allions devoir offrir nos vie pour en sauver d’autres ! Et l’instructeur poursuivait : « Quand vous serez face aux flammes vrombissantes, que vous sentirez la chaleur vous mordre cruellement le visage et que la fumée vous asphyxiera souvenez-vous que vous êtes des sapeurs pompiers, qu’un sapeur pompier est là pour vaincre le feu et non se laisser brûler par lui. Est-ce clair, est-ce que tout le monde comprend ça ? Il faut que vous vous répétiez que vous êtes des soldats du feu, que vous aller vaincre le feu, que vous aller sauver des vies, des biens ! Répétez-vous ça, enfoncez-vous ça dans la caboche ! »
Lorsque nous nous retrouvâmes devant l’incendie, qui n’était en soi qu’un exercice, un hangar brûlait et nous devions le traverser d’un bout à l’autre, entouré par les flammes qui vrombissaient. J’étais le quatrième dans la file, et mon tour allait bientôt venir. Je me répétais : « je n’ai pas peur, je suis un pompier, je suis un pompier. Je suis là pour vaincre le feu, je n’ai pas peur, je vais traverser les flamme et tout se passera bien. » Mon tour arriva, l’instructeur vérifia mon équipement, me donna une claque d’encouragement et je plongeai au sol et me mit à ramper en entrant dans le hangar plein de fumée. Au sol des flèches étaient tracées, le nez à quelques millimètres du revêtement de sol, je respirais posément. Je ne ressentis aucune peur, j’avançai doucement mais sûrement. Mon esprit était vide, le feu grondait et la fumée était opaque, mais au-dessus de moi, et j’avançai sans anicroches, c’était comme si j’avais toujours fait ça ! À ma grande consternation j’arrivai au bout du hangar sain et sauf, et en pleine forme. Un peu plus tard, j’appris que quatre de mes camarades avaient été exclus car ils avaient reculé devant l’épreuve. Alors je compris le pouvoir qui était en moi, je compris qu’une force me guidait et me protégeait. Vous me croyez ou non, mais des dangers de ce genre, j’en ai affronté beaucoup et c’est ce qui m’a donné le pouvoir de comprendre mon subconscient. Il était ma force, car je l’avais reconnu comme étant lui le maître de ma vie, et ma vie, il l’a épargné, alors que peut-être, si j’avais céder, ô combien de fois à la panique, serais-je mort depuis belle lurette !
Qu’est-ce qu’une sortie astrale ? Moins grave que d’être pris au piège dans les flammes d’un incendie, je vous le certifie ! Qu’est-ce que la mort ? Elle est la conséquence logique d’une fin de vie ! Ça aussi je puis vous le certifier. Alors pourquoi avoir peur, pourquoi douter de ses possibilités en pensant que « sortir de son corps » pourrait entraîner, je ne sais pas, au fait de quoi avez-vous peur ? De ne plus pouvoir revenir ? Ça arrivera un jour ou l’autre, à n’en pas douter. Si vous sortez bien consciemment de votre prison de chair, vous vous rendrez compte que la mort n’existe pas, que c’est un leurre, une énorme illusion et que tout continue d’exister au-delà de ce que tous les êtres humains nomme : la mort !
Au diable la peur, au diable les doutes ! Soyez fort, soyez sûr de vous et votre subconscient induira cette force en tout votre être, dans votre esprit, vous serez le victorieux, l’égale d’un champion olympique. Au fait, savez-vous combien d’heures par jour, s’entraîne un futur champion olympique ? Savez-vous quelle discipline de fer ils ont sur eux-mêmes ces champions olympiques ? Je vous laisse deviner ! Un mental d’acier, sans qu’aucun doute ne vienne les perturber. Ces champions vont à la victoire.
L’entraînement à la projection astrale est moins dur qu’un entraînement d’un champion olympique, ça aussi je puis vous le dire. Simplement il faut croire en vos possibilités, croire que tout est possible et l’impossible n’existe pas et ainsi vous convaincre que vous êtes capable puisque d’autres l’ont également fait, alors pourquoi pas vous ?
Et puis, il n’y a pas que le voyage hors du corps que vous pourrez expérimenter, mais bien d’autres choses encore. Les pouvoirs du subconscient sont infinis. Il ne connaît pas de limite à son savoir, le tout est de pouvoir l’atteindre, c’est comme l’histoire de la caverne d’Ali Baba, pour entrer dans la caverne des quarante voleurs il fallait connaître la clef qui était…oui…c’est ça… « Sésame ouvre-toi ! »
Si vous trouvez la clé pour entrer dans la caverne de votre esprit subconscient, vous y découvrirez des trésors incroyables. Tenez, moi qui écris par exemple, je suis toujours sidéré de voir comment mon subconscient travaille pour me guider, m’inspirer. Vous n’êtes pas sans ignorer qu’un auteur possède une muse, la mienne est mon « sub », comme j’aime à l’appeler. Mon « sub » est là, toujours vigilent. Parfois, je me trouve devant une page blanche et je ne sais qu’écrire ! Soudain mes doigts démarrent sur le clavier. J’ai toujours à porter de main un carnet où je prends des notes. Chez moi il y a plein de morceaux de papier qui traîne de tout côté, des idées que je saisis à la volée quand mon « sub » m’inspire. Je sais qu’un jour ou l’autre, j’en aurais besoin, ils me viendront à point.
Mon « sub » et moi sommes des amis, je ne doute pas un instant qu’il est « Moi ». Je ne suis que le petit moi, sans lui je ne pourrais pas écrire, car il est la source intarissable des connaissances qui sont en « Moi ». Dans sa caverne je puise ad libitum.