Les OVNIS exposés dans les écritures bibliques
La lecture attentive de la Bible nous apprend que les « anges » et les « dieux » utilisaient pour se mouvoir dans l’univers spatio-temporel des vaisseaux spatiaux dont la description ressemble étrangement aux récits d’observation d’ovni rapportés de nos jours par les témoins.
Notre science, toujours infatuée d’elle-même, quoi qu’elle n’ait que
deux cents ans d’âge environ, rétorquera que cela est impossible
technologiquement. Mais que peut savoir la Science humaine moderne de
celles de civilisations de l’espace qui vinrent du cosmos sur la Terre
voilà des millénaires ?
Il est vrai qu’elle nie qu’il en fut ainsi… Question
d’orgueil qui pousse l’homme scientifique à prétendre que les terriens
sont uniques dans l’univers qui compte pourtant des milliards de
galaxies et des centaines de milliards de planètes dont beaucoup sont
bien plus anciennes que la Terre…
Les OVNIS dans l’ancien testament
De nombreux textes bibliques attestent de l’existence des ovnis qui
furent diversement nommés dans les temps anciens selon les
civilisations. Ils furent appelés dans la Bible « Nuée » (le jour) ;
« Nuée Lumineuse » (la nuit -à cause de la luminescence ionisée de la
structure-) ; « Colonne de Nuée » ; « Colonne de Feu », (à cause de
l’ionisation rougeoyante de sa structure) ; « Tourbillon », (à cause de
la rotation rapide des structures extérieures circulaires observées à de
très nombreuses reprises depuis 1947) ; « Cherubin » (Racine Perse :
K-h-Rb qui donna Kéroub, Caroube en Bretagne, Carib, Cariba à Cuba, et
Caraïbe en Amérique du sud ; « Roue » (engin circulaire important en
forme de roue comportant des « rayons ») ; « Palais » ; « Trés-Haut » ;
« Tente » ; « Splendeur » ; « Vimânâ » ; « Perles du Ciel » ;
« Aigles », « Frelon », (à cause du bruit de certains), etc.
Parmi les évènements rapportés
dans la Bible, deux d’entre eux évoquent avec beaucoup de réalisme
l’atterrissage spectaculaire de deux grands vaisseaux spatiaux.
Le premier fut l’arrivée au sommet du Mont Sinaï du grand vaisseau-amiral de Yahwé par ailleurs surnommé le « Très-Haut »,
car s’y tenant en général au-dessus des Hébreux. Le second fut
ultérieurement la venue près du fleuve autrefois nommé Kebar d’une
grande « Roue » accompagnée d’autres engins très véloces et lumineux que
dépeignit Ezéchiel qui en fut le témoin (ch. 1).
Quiconque a vu le film « Rencontre du 3ème Type » de Spielberg se fera
une idée correcte d’un tel évènement. Je n’évoquerai en détail que
l’arrivée de Yahwé au Sinaï, pour ne pas allonger cette rédaction
inutilement.
Les OVNIS de l’Exode
A leur départ d’Egypte, les
Hébreux furent manifestement guidés jour et nuit par un engin aérien
cylindrique que nous avons appelé de nos jours « Cigare », à cause de sa
forme. En témoigne cette citation qui illustre parfaitement bien
comment Yahvé, à bord de son ovni, guidait le peuple hébreu dans le
désert :
« Le jour où le tabernacle fut
dressé, la nuée couvrit le tabernacle, la tente d’assignation ; et,
depuis le soir jusqu’au matin, elle eut sur le tabernacle l’apparence
d’un feu.
Il en fut continuellement ainsi : la
nuée couvrait le tabernacle, et elle avait de nuit l’apparence d’un
feu. Quand la nuée s’élevait de dessus la tente, les enfants d’Israël
partaient ; et les enfants d’Israël campaient dans le lieu où s’arrêtait
la nuée.
Les enfants d’Israël partaient sur
l’ordre de l’Éternel, et ils campaient sur l’ordre de l’Éternel ; ils
campaient aussi longtemps que la nuée restait sur le tabernacle. Quand
la nuée restait longtemps sur le tabernacle, les enfants d’Israël
obéissaient au commandement de l’Éternel, et ne partaient point.
Quand la nuée restait peu de jours
sur le tabernacle, ils campaient sur l’ordre de l’Éternel, et ils
partaient sur l’ordre de l’Éternel. Si la nuée s’arrêtait du soir au
matin, et s’élevait le matin, ils partaient. Si la nuée s’élevait après
un jour et une nuit, ils partaient.
Si la nuée s’arrêtait sur le
tabernacle deux jours, ou un mois, ou une année, les enfants d’Israël
restaient campés, et ne partaient point ; et quand elle s’élevait, ils
partaient. » (Nombres 9 : 16-22)
Les Hébreux appelèrent l’engin
aérien selon le concept de leur évolution « Colonne de Nuée », le jour,
et « Colonne de feu » la nuit, à cause de la luminosité rougeoyante
d’ionisation qui émane de sa structure, nous le savons maintenant grâce
aux milliers de témoins contemporains qui ont pu observer ce phénomène
sur toute la planète.
En effet, il a été rapporté que ces engins, d’une conception autre que
ce que l’homme fabrique, ionisent leur environnement direct par leur
mode de fonctionnement et induisent en certaines circonstances une
condensation vaporeuse qui les enrobe totalement, leur donnant alors
l’aspect de nuées plus ou moins compactes, soient qu’ils volent en
sustentation ou qu’ils se déplacent à des vitesses inouïes.
Selon le même processus ionisant, leur structure devient lumineuse la
nuit, s’étendant du rouge sombre à toute la gamme des rouges et des
jaunes, y compris le vert et le parme, jusqu’à devenir d’un blanc
éblouissant, « glorieux », et leur environnement vaporeux leur donne
alors l’aspect de petits nuages lumineux. D’où le terme « Nuée » donné
par les anciens pour les désigner.
Ainsi est-il encore écrit dans la Bible :
« L’Éternel allait devant eux, le
jour dans une colonne de nuée pour les guider dans leur chemin, et la
nuit dans une colonne de feu pour les éclairer, afin qu’ils marchassent
jour et nuit. La colonne de nuée ne se retirait point de devant le
peuple pendant le jour, ni la colonne de feu pendant la nuit. » (Exode 13:21,22)
Atterrissage au Mont Sinaï
Il est écrit dans la Bible que le troisième mois après leur sortie
d’Egypte, les enfants d’Israël arrivèrent au désert du Sinaï. « L’Éternel
dit à Moïse : voici, je viendrai vers toi dans une épaisse Nuée, afin
que le peuple entende, quand je parlerai, et qu’il ait toujours
confiance en toi… Qu’il soit prêt pour le troisième jour, car L’Éternel
descendra aux yeux de tout le peuple sur la montagne de Sinaï. » (Exode 19 : 9)
Avant d’atterrir au sommet du
Sinaï, Yahwé communiqua également à Moïse des instructions précises afin
de protéger la vie et la santé des Hébreux. Ces recommandations
visaient à ce que le peuple ne puisse subir l’effet nocif des radiations
qui allaient être induites par le système de propulsion de son « Tout
Puissant » avant son atterrissage.
« Qu’ils soient prêts pour le
troisième jour ; car le troisième jour l’Éternel descendra, aux yeux de
tout le peuple, sur la montagne de Sinaï. Tu fixeras au peuple des
limites tout à l’entour, et tu diras : Gardez-vous de monter sur la
montagne, ou d’en toucher le bord. Quiconque touchera la montagne sera
puni de mort. » (Exode 19 : 11, 12)
Et au cas où l’un d’entre eux dérogerait à l’interdiction de dépasser la
limite de sécurité fixée, et même pour un animal, il fut décrété par
Yahwé de ne pas y toucher (ceci afin d’éviter toute contamination), et
de le mettre à mort.
« On ne mettra pas la main sur lui
(celui qui se sera trop approché de l’engin), mais on le lapidera, ou on
le percera de flèches : animal ou homme, il ne vivra point. » (Exode 19 : 13)
Ce n’est qu’une fois
l’atterrissage réalisé, et donc une fois que tout danger serait écarté
du fait de la coupure des propulseurs que l’autorisation serait donnée
au peuple d’approcher la montagne tout en restant à une certaine
distance.
Atterrissage sur le mont Sinaï
« Quand la trompette sonnera, ils s’avanceront près de la montagne. » (Exode 19 : 13)
« Fais au peuple la défense expresse
de se précipiter vers l’Éternel, pour regarder, de peur qu’un grand
nombre d’entre eux ne périssent. » (Exode 19 : 21)
Les préliminaires ayant été accomplis, il est écrit qu’un matin, le
peuple s’étant assemblé au pied de la montagne, un son puissant retentit
à la manière de celui d’une trompe, tandis que l’engin, descendant du
ciel, environné de feu et de fumée intense, se posa, en même temps que
la montagne fut ébranlée par une vibration due à la puissance de ses
propulseurs.
« Le troisième jour au matin, il y
eut des tonnerres, des éclairs, et une épaisse nuée sur la montagne ; le
son de la trompette retentit fortement ; et tout le peuple qui était
dans le camp fut saisi d’épouvante. Moïse fit sortir le peuple du camp, à
la rencontre de Dieu ; et ils se placèrent au bas de la montagne.
La montagne de Sinaï était tout en
fumée, parce que l’Éternel y était descendu au milieu du feu ; cette
fumée s’élevait comme la fumée d’une fournaise, et toute la montagne
tremblait avec violence. Le son de la « trompette »(disons des haut-parleurs) retentissait de plus en plus fortement. Moïse parlait et Yahwé lui répondait à haute voix… » (Exode 19 : 16-20).
De nos jours, lorsqu’une fusée
spatiale décolle, la terre tremble de même à la ronde, tandis qu’elle
crache du feu et qu’une fumée épaisse se répand tout autour, sortant de
ses « narines », c’est-à-dire de ses tuyères.
Cette description a été parfaitement restituée et rendue par le film « Rencontre du 3e Type »
de Spielberg : l’arrivée par le ciel d’un immense vaisseau spatial
environné de condensation vaporeuse lui donnant un aspect sinistre ; le
feu et la fumée émanant de son moyen de propulsion, des éclairs générés
par son fonctionnement électromagnétique, le grondement tonitruant de
ses propulseurs et l’ébranlement du sol à l’approche immédiate de son
atterrissage, un bruit de trompe assourdissant.
Puis, une fois posé, la tonalité de la voix de Yahwé amplifiée par les
haut-parleurs fut entendue de tous, à leur stupéfaction apeurée. Rien de
miraculeux en tout cela ; simplement le fruit d’une technologie avancée
vers laquelle notre science parvient depuis seulement cinquante ans.
C’est sans doute de cette description que les auteurs du film évoqué ont
puisé l’inspiration de leur scénario si réaliste.
Un peu plus loin (Exode 33.18) Moise demande à Yahvé la possibilité de voir sa « Gloire ».
Moïse dit : Fais-moi voir ta gloire !
L’Éternel répondit : « (…)Tu ne
pourras pas voir ma face, car l’homme ne peut me voir et vivre. Voici un
lieu près de moi ; tu te tiendras sur le rocher. Quand ma gloire
passera, je te mettrai dans un creux du rocher, et je te couvrirai de ma
main jusqu’à ce que je sois passé. Et lorsque je retournerai ma main,
tu me verras par derrière, mais ma face ne pourra pas être vue.”
Il est clair qu’il est question
ici du survol à basse altitude de l’OVNI qui présente un danger mortel
pour l’homme. C’est un phénomène bien connu là encore dans le milieu
ufologique et il est très largement recommandé aux témoins d’OVNIS de ne
jamais s’approcher d’un engin au sol ou volant à basse altitude sous
peine de graves séquelles et brûlures.
Après que YAHWE eut dicté à Moïse ses ordonnances et rédigé sa Loi (la
Thora) sur deux tables de pierre, après que son « Tout puissant » soit
remonté dans la haute atmosphère, il redescendait assez régulièrement
parmi les Hébreux dans un engin plus petit qu’ils surnommèrent « Nuée »,
à cause de la condensation vaporeuse qui se forme très souvent autour
de la structure de ces engins.
Ainsi l’on retrouve souvent dans le texte des citations de cette veine :
« Et lorsque Moïse était entré dans
la tente (réservée aux conciliabules entre Yahwé et lui), la colonne de
nuée descendait et s’arrêtait à l’entrée de la tente, et l’Éternel
parlait avec Moïse » (Exode 33 : 9)
« L’Éternel appela Moïse de la tente d’assignation et lui parla. » (Lévitique 1 : 1)
« L’Éternel descendit dans une « Nuée » et se tint auprès de Moïse… » (Exode 34 : 5)
La demeure de Yahvé
De nombreuses citations indiquent que Yahvé vivait dans ses « palais »
dans le ciel. Reste à définir quelle était la nature de ses Palais.
« Dieu, dans ses palais, est connu pour une haute retraite » (Psaumes 48 : 4)
Qu’est-ce qu’une « haute retraite » pour des observateurs au sol
regardant vers le ciel ? Et quels étaient ces « palais » ? sinon des
résidences aériennes, des vaisseaux spatiaux survolant le Sinaï et ses
environs ?…
On trouve encore : « Ô Éternel, tu fais du « Très-Haut » ta retraite… » (Psaumes 91 : 9)
Ici, la preuve est donnée que le dénommé « Très-haut » n’est pas Yahwé,
mais son vaisseau spatial amiral qui fut confondu avec lui, comme le
cavalier à sa monture, ce que les Incas s’imaginèrent lorsqu’ils virent
débarquer les conquistadors espagnols montés sur des chevaux…
Au premier abord, ils s’imaginèrent voir des monstres, moitié animaux,
moitié humains. Il fut sans doute difficile d’emblée pour des humains
vivant en ces époques archaïques de distinguer le cavalier de sa monture
et Yahwé de sa machine. Yahwé fut ainsi confondu avec son vaisseau
circulant au-dessus des Hébreux…
Les merveilles de Yahvé
« Sais-tu comment Dieu dirige ces
merveilles, et fait briller son nuage étincelant ? Comprends-tu le
balancement des nuées, les merveilles de celui dont la science est
parfaite ? » (Job 37 : 15,16)
Que signifie « faire briller son nuage » qui devient étincelant ? Et
qu’est-ce que le « balancement de ses Nuées » ? Sinon qu’il fut là
question une fois de plus des ovnis dont le balancement en « feuille
morte » est bien connu lorsqu’ils volent au ralenti ou qu’ils
descendent.
Des milliers de témoignages d’observations contemporaines de ces engins
les ont souvent décrits fonctionnant ainsi, et comme s’ils étaient
chromés, « étincelants »… Science extra-terrestre d’autant plus parfaite
pour les narrateurs de cette époque qu’ils n’étaient guère évolués
scientifiquement…
—————————
La voix de Yahwé
La « voix », dite de Yahwé, était confondue avec le grondement que
produisait l’effet sonore intense de la propulsion de son engin spatial.
Les narrateurs ne surent tout simplement pas comprendre
technologiquement ce qui l’engendrait et l’attribuèrent à Yahwé qui
résidait dans sa « splendeur » aérienne, confondant le contenant du
contenu.
(Psaumes 29:3-10) : « La
voix de Yahwé retentit sur les eaux… Le « dieu » de gloire (le vaisseau
très lumineux assimilé à Yahwé) fait gronder le « tonnerre » (sonorité
assimilée au tonnerre)… La « voix » de Yahwé est puissante, majestueuse.
Elle brise les cèdres du Liban (trop
près du sol et volant au-dessus d’une forêt, le souffle associé au
grondement peut en effet briser des branches ou des arbres) et les fait
bondir comme des veaux (-belle description d’arbres cassés ou
déracinés projetés en tous sens par le souffle puissant du ou des
réacteurs chasse et fait bondir).
Elle dépouille les forêts… La « voix » de Yahwé fait jaillir des flammes de feu (ce que font aussi les tuyères de nos modernes fusées). La « voix » de Yahwé fait trembler le désert (même chose à Cap Kennedy ou à Kourou…).
Elle fait enfanter les biches (Petit
détail intéressant là encore. On connaît en effet le phénomène bien
connu des lieux d’élevage que survolent les avions de chasse à basse
altitude. Leur grondement fait avorter de peur les femelles gravides,
phénomène qui cause de nos jours de sévères pertes aux éleveurs.)
Preuve si besoin était que les auteurs de l’époque confondaient Yahvé et son engin, cette citation : « Le
bruit des ailes des chérubins se fit entendre jusqu’au parvis
extérieur, pareil à la voix du Dieu tout puissant lorsqu’il parle.” (Ezéchiel 10 : 5)
—————————
Interventions aériennes dans les guerres
Sachant que les Hébreux seraient confrontés à d’autres peuplades et
peuples puissants qui les traiteraient en ennemis au cours de la
pérégrination qu’ils allaient entreprendre sous sa conduite, Yahwé les
rassura en ces termes, leur promettant d’intervenir militairement à leur
place : « Yahwé combattra pour vous ; et vous, gardez le silence (ne faites rien) … » ( Exode 14 : 14)
« J’enverrai ma « terreur » devant
toi, je mettrai en déroute tous les peuples chez lesquels tu arriveras
et je les ferais tourner le dos devant toi…J’enverrai les « frelons »
devant toi, et ils chasseront loin de toi les Héviens, les Cananéens… » (Exode 23:27,28)
« L’Éternel, ton Dieu, enverra même
les « frelons » contre eux, jusqu’à la destruction de ceux qui
échapperont et qui se cacheront devant toi. » (Deutéronome 7 : 20-22)
Il est intéressant de noter que Dassault nomma deux hélicoptères de
combat « frelon » et « super-frelon »… Il avait forcément compris, ayant
lu les écrits de Moïse, que les « frelons » de Yahwé étaient des engins
de guerre aériens. Il est bien entendu que les mêmes causes produisent
les mêmes effets -en l’occurrence nominative.
La liste des récits relatant les destructions que Yahwé fit du ciel au
bénéfice des Hébreux à l’encontre des peuples qui pouvaient s’opposer à
eux est impressionnante. Il n’est pas étonnant que, bien plus tard,
David écrivit :
« Venez, contemplez les oeuvres de
l’Éternel : les ravages qu’il a opérés sur la Terre… C’est lui qui a
fait cesser les combats jusqu’au bout de la Terre ; il a brisé les arcs,
il a rompu les lances, il a consumé par le feu les chars de guerre… » (Psaumes 46:9)
« Des cieux on combattit, de leurs sentiers les « étoiles » combattirent contre Sisera… » (Juges 5:20)
A-t-on jamais vu des étoiles combattre et lancer de grosses « pierres »
sur des combattants au sol ?… Lorsqu’un ovni de 12 à 20 m de diamètre
vole en phase lumineuse à une certaine altitude, il est vu du sol comme
une étoile… C’est une telle « étoile » qui guida les Rois mages et les
bergers vers Jésus à sa naissance…
Il est ridicule et vain pour les astronomes de chercher à faire croire que « l’étoile » évoquée était une comète.
L’Evangile dit que cette
« étoile » guida ces hommes sur une longue distance, puis s’arrêta
finalement, selon le texte de l’Evangile, juste au-dessus du lieu de la
naissance de Jésus.
La recherche des astronomes est vaine et ridicule par le fait que la
Science humaine refuse obstinément d’admettre la réalité des
extraterrestres.
Ovnis dans les batailles
Voici maintenant le compte-rendu d’une intervention aérienne de Yahwé
impliquant divers types d’engins qui se déroula pour sauver David d’une
situation conflictuelle difficile pour lui :
« Dans ma détresse, j’ai invoqué l’Eternel. De son « palais » (aérien), il entendit ma voix. La terre fut ébranlée et trembla (comme le fait une fusée à Cap Kennedy).
Il s’élevait de la fumée dans ses « narines » (des deux trous d’échappement du moteur de son engin ?) et du feu dévorant sortait de sa « bouche » (de sa tuyère de propulsion ?) il en jaillissait des charbons embrasés (des scories).
Il s’abaissa des cieux, et il descendit : il y avait une épaisse « Nuée » sous ses pieds (son vaisseau aérien) il faisait des ténèbres une tente autour de lui, il était enveloppé d’amas d’eaux et de sombres nuages (autrement
dit, son vaisseau était environné de la condensation structurelle se
formant autour de l’engin, ce qui avait pour effet de le rendre sombre). Il était monté sur un « chérubin » et il volait.
Les Perses appelaient « Keroubïm » les humanoïdes de petites tailles
qu’ils savaient « piloter les chars des dieux ». Dans la suite des
temps, ce nom engloba l’engin et son pilote. L’Eglise catholique ne
retint que la petite taille des « Keroubïm » et en fit des « angelots »
de plâtre qui servirent à enjoliver les églises)….
« De la « Splendeur » qui le précédait s’échappait ses « Nuées » lançant de la grêle et des charbons de feu. »
Cette évocation découla pour les Hébreux de l’inexplicable vision de
l’engin sans doute lumineux et coloré qui précédait le vaisseau-mère de
Yahwé.
Une sorte de porte-avions aérien
duquel sortaient les « Nuées » -des ovnis plus petits qui bombardaient
les ennemis des Hébreux, « la grêle et des charbons de feu » n’étant
rien d’autre que des bombes ou munitions explosives. à noter que ce
passage témoigne encore une fois de la confusion qui est faite entre
Yahvé et son engin spatial.
« Le « Très-Haut » (l’engin) fit retentir sa « voix » (le grondement de l’un de ses propulseurs) et il lança des flèches (des missiles) et
dispersa mes ennemis par le bruit du souffle de ses « narines »… Il
étendit d’en haut sa main et il me saisit, et il me délivra de mes
adversaires… » (2 Samuel 22: 7-18 / Psaumes 18 : 7-18).
Le récit suivant rend compte d’une autre intervention militaire aérienne
de Yahwé, qui eut recours au bombardement contre une coalition armée
qui risquait fort de vaincre les Hébreux trop peu nombreux :
« Comme ils fuyaient devant Israël, et qu’ils étaient à la descente de Beth Horon, l’Éternel fit tomber du ciel sur eux de grosses pierres jusqu’à Azéka, et ils périrent ; ceux qui moururent par les pierres de grêle furent plus nombreux que ceux qui furent tués avec l’épée par les enfants d’Israël. » (Josué 10 : 10; 11).
« Comme ils fuyaient devant Israël, et qu’ils étaient à la descente de Beth Horon, l’Éternel fit tomber du ciel sur eux de grosses pierres jusqu’à Azéka, et ils périrent ; ceux qui moururent par les pierres de grêle furent plus nombreux que ceux qui furent tués avec l’épée par les enfants d’Israël. » (Josué 10 : 10; 11).
Bien évidemment, les « pierres »
évoquées, selon la conception archaïque qu’en eurent les Hébreux,
étaient tout simplement des bombes.
« Les « chars » de l’Eternel se comptent par vingt mille, par milliers et par milliers; Yahwé est au milieu d’eux… » (Psaumes 68:18)
« De ton « sanctuaire » (aérien), ô « dieu », tu es redoutable. » (Psaumes 68:36)
Comme il est donné de le
constater, Yahwé disposait d’une flotte aérienne impressionnante. Son
appelé « sanctuaire » n’était autre que son vaisseau-amiral d’une
puissance aérienne dépeinte comme redoutable.
—————————
Interventions aériennes de nos jours… ?
« L’Eternel est un grand Roi sur toute la Terre, il nous assujettit les peuples… » (Psaumes 47 : 3)
Cette dernière citation révèle que Yahwé fut concrètement un Roi célèbre
sur la Terre et que, du ciel, avec ses vaisseaux spatiaux, il
combattait les opposants aux Hébreux et leur en assujettit quelques-uns…
Il ne faudra pas s’étonner qu’il fasse de même à nouveau, si Jérusalem
devient l’enjeu d’un conflit opposant Israéliens et Arabes.
C’est avec ces engins aériens que Yahwé, aussi surnommé le « dieu des
armées » et son armée intervenaient du ciel contre les opposants au
peuple d’Israël. Ce qu’il semble avoir encore fait récemment, mais moins
spectaculairement qu’autrefois, cette fois, au bénéfice d’Israël lors
de la « Guerre des 6 jours » qui le vit s’affronter contre une coalition
militaire arabe. L’information parut dans le quotidien bien connu « Le Figaro » du 11 août 1977. La voici :
DES OVNIS PILOTÉS PAR DES ANGES
« Robert Barry, Directeur du Bureau
des OVNI à Toe, et Pennsylvanie, et publicitaire distingué, est persuadé
que l’Etat d’Israël est protégé par des « Objets Volants Non
Identifiés » envoyés par DIEU (en réalité par Yahwé) et pilotés par des
« anges ». Ce Bureau tient actuellement sa sixième conférence annuelle
au Cap May dans le New-Jersey, avec une participation de 185 croyants
(au Christianisme et aux OVNIs).
Un certain nombre de communications
ont affirmé qu’il y avait eu une recrudescence d’OVNI dans les périodes
de guerre israélo-arabe de 1947-1948, 1956 (à cette époque-là, cela
s’appelait des « soucoupes volantes »), de 1967 et 1973 et que cela
avait fait pencher la balance en faveur des Israéliens. Monsieur Barry a
également déclaré que des rapports secrets israéliens et américains
établissent que des parachutistes israéliens ont été sauvés, au cours de
la guerre de 1967, par des « miracles » alors que la présence d’OVNI
était signalée au-dessus du champ de bataille… etc… ».
Faut-il douter de l’exactitude de cette information ? Pour ma part, je
ne pense pas qu’un quotidien comme le Figaro s’amuserait à fabuler. Il
semble donc que, plus discrètement mais, comme il y a 3300 ans, les
extraterrestres du camp de Yahwé continuent à protéger Israël.
Selon ce que la première partie de la Bible enseigne, mais aussi bien
d’autres Mythes ancestraux, il y a 3 à 4000 ans, les « Dieux » s’étant
partagés la terre, faisaient des ravages sur tous les continents en
fonction de stratégies hégémoniques.
Aucune autre explication n’est plausible et possible au regard de cette
description qu’il est souhaitable de transposer sur ce que nous
connaissons maintenant de l’aviation et des fusées pour en saisir
pleinement le sens.
—————————
Les OVNIS dans le nouveau testament
Tandis que Jésus-Christ effectuait sa mission sur la terre d’Israël,
l’Evangile rapporte qu’il fut en contact à plusieurs reprises avec une
« Nuée » en sa phase d’extrême luminosité (désignée par « gloire »).
Et lorsqu’il s’en alla de la
Terre, c’est de même sur une « Nuée » qu’il fut ascensionné par
antigravitation et s’en alla vers le cosmos. Et il est écrit qu’il
reviendra exactement de la même manière le moment propice venu. Voici
les textes :
« Comme Jésus parlait encore, une
« Nuée lumineuse » les couvrit (vint se placer au-dessus de Jésus et de
ses disciples). Et voici, une voix se fit entendre de la Nuée (par ses
occupants). » (Mathieu 17 : 5)
« Une Nuée vint les couvrir (se
placer au-dessus d’eux), et il en sortit une voix : Celui-ci est mon
Fils Bien-aimé : Ecoutez-le ! Jésus fut transfiguré devant eux, ses
vêtements devinrent resplendissants, et d’une telle blancheur… » (Marc 9 : 7)
Ce texte est celui par lequel le Catholicisme romain fonda la « fête de
la transfiguration » qu’elle a fait apparaître comme une chose
miraculeuse, incompréhensible.
En fait, il s’agissait seulement de l’effet rayonnant de la luminosité
très vive, de type magnésium qui brûle, ce qui modifia l’aspect des
vêtements de Jésus, et même celui de son visage, comme cela serait pour
toute personne éclairée violemment par une extrême luminosité. Il n’y a
pas de quoi y voir là un prodige incompréhensible, miraculeux…
« Comme ils parlaient, une Nuée vint les couvrir (se placer au-dessus d’eux) : et les disciples furent saisis de frayeur. Et voici, deux hommes s’entretenaient avec Jésus qui apparaissait dans sa gloire (dans l’intense luminosité qui émanait de l’OVNI), parlaient de son départ qu’il allait accomplir vers Jérusalem… » (Luc 9:28-35)
Cette narration est la même que celle qui fut rapportée précédemment,
mais elle comporte d’autres détails. Là, il est question « d’hommes »,
c’est-à-dire d’extraterrestres appelés « anges » -messagers, ou dieux-
identifiés -à tort- par l’évangile comme étant Moïse et Elie.
On notera que ces « Contacts du 3e Type » eurent chaque fois lieu après
qu’une « Nuée » lumineuse vint du ciel se placer au-dessus de Jésus et
de ses apôtres.)
« Après avoir dit cela, Jésus fut
enlevé (et non il s’éleva de lui-même, comme par enchantement) tandis
qu’ils regardaient, et une Nuée le déroba à leurs yeux (autrement
dit, un ovni, placé au-dessus de Jésus utilisa une technologie inconnue
pour l’élever en douceur jusqu’à ce qu’il pénètre à l’intérieur, dès
lors invisible à la vue de ses apôtres).
Et comme les apôtres avaient leurs regards fixés vers le ciel pendant que Jésus s’en allait, voici, deux hommes vêtus de blanc (deux extraterrestres, ou anges, revêtus sans doute de combinaisons de cosmonautes, à l’image de celles qui vêtent les nôtres) leur
apparurent et dirent : Hommes Galiléens, pourquoi vous arrêtez-vous à
regarder vers le ciel ? Ce Jésus qui a été enlevé au ciel du milieu de
vous reviendra de la même manière que vous l’avez vu s’en allant… » (Actes 1 : 9-11)
—————————
D’autres exemples commentés
D’innombrables descriptions caractéristiques d’ovnis sont encore
présentes dans la Bible et il serait fastidieux de les reprendre toutes.
En voici néanmoins quelques-unes commentées pour illustrer le propos
jusqu’à l’évidence.
« Il s’enveloppe de lumière comme d’un manteau (phénomène ionisant qui
caractérise très souvent l’environnement immédiat des ovnis la nuit), il
forme avec les eaux le fait de sa demeure (à cause des condensations
aqueuses inhérentes à son système propulsif et qui enveloppent l’engin),
il prend les « Nuées » pour ses « chars » (Ovnis enrobés de
condensation qui donnent l’impression, vu du sol, d’être de petits
nuages qui, lorsqu’ils se déplacent le font avec une grande vélocité). (Psaumes 104 : 2-4)
« Et voici, L’Eternel arrive avec promptitude et légèreté. Ses « Chars » (aériens) ressemblent à des tourbillons« . (Isaïe 5 : 26,28)
« L’Eternel est monté sur une « Nuée » rapide… » (Isaïe 19:1)
La giration d’une partie des ovnis et leur rapidité de vol constituent
des caractéristiques technologiques amplement constatées à l’observation
des ovnis circulaires en particulier) « Yahwé arrive dans un feu (soit celui du système de propulsion soit la luminosité rougeoyante de la structure de son vaisseau). Et ses « Chars » sont comme un tourbillon. » (Isaïe 66 : 15)
L’observation contemporaine des ovnis a démontré que le plus souvent les
structures circulaires extérieures des ovnis tournaient rapidement
autour d’un axe central. D’où l’impression visuelle d’un tourbillon.
Quand à la luminosité, elle est maintenant devenue proverbiale, allant
du rouge sombre au blanc éblouissant…
« L’Eternel des armées passe en revue l’armée qui va combattre. Ils viennent d’un pays lointain, de l’extrémité des cieux. (à cette époque, l’homme ne construisait pas d’engins aériens) L’Eternel et les instruments de sa colère vont détruire (du ciel) toute la région... » (Psaumes 13: 4,5)
Qui, à cette époque, pouvait
venir en masse de l’extrémité des cieux avec des « instruments »
-forcément aériens- de destruction qui pouvaient ravager par leur
puissance de feu toute une région, sinon des appelés OVNIS ?
Certains textes de l’Inde relatent de même de terribles combats aériens
que les appelés « dieux » se livrèrent entre eux (récits sur les
Vinamas). Le récit des Hébreux n’est donc pas unique en son genre…
—————————
Depuis 1947, de nombreuses observations d’ovni en sustentation à travers
le monde ont apporté l’information qu’ils sont munis d’un système qui
produit des rayons lumineux anti-gravitationnels qui, focalisés vers une
cible, animale ou humaine, la “dégravitent” et la fait s’élever
doucement jusqu’à eux.
Il ne fait aucun doute que c’est par ce moyen technologique que le
vaisseau spatial vint ascensionner Jésus qui partit dans le cosmos vers
une destination inconnue.
Et deux d’entre les occupants de cet ovni qui étaient au sol, voire d’un
autre qui n’est pas mentionné, eurent pour mission d’atténuer l’effet
psychologique éprouvant qui affecta les disciples du Christ par cet
enlèvement effarant pour eux à cette époque, comme il devrait l’être de
même pour nous qui sommes pourtant habitués aux prouesses technologiques
de notre civilisation aérienne. Ils durent être stupéfaits !…
Ces « anges » en profitèrent pour leur affirmer à haute et intelligible
voix que Jésus reviendrait sur Terre de la même manière qu’ils le virent
y monter, c’est-à-dire sur un vaisseau spatial.
—————————
Les enlèvements
Voici encore un phénomène bien connu du monde de l’ufologie, rapporté
par de nombreux témoins contemporains et que l’on retrouve à plusieurs
reprises dans l’Ancien et le Nouveau Testament. « Comme
ils continuaient à marcher, en parlant, voici, un Char de feu les
séparèrent l’un de l’autre, et Elie monta au ciel dans un « Tourbillon ». (2 Rois 2 : 11)
À cette époque, point d’avion,
d’hélicoptère d’origine humaine permettant d’enlever dans les airs une
chose ou un humain… Alors quel était ce « CHAR » aérien rougeoyant
tournant sur lui-même, sinon un ovni ?…
Il est à noter que la tradition musulmane rapporte que Mahomet fut aussi
enlevé dans les airs alors qu’il montait son cheval, Bourane… Ezéchiel,
rendant compte de l’atterrissage d’une « Roue » accompagnée d’autres
engins aériens véloces plus petits dépeignit cette même façon d’enlever
du sol quelque chose ou un homme et même de le transporter, suspendu
dans l’air.
En l’occurrence, il le fut lui-même par les cheveux (les Hébreux les
avaient longs) et transporté d’un point à un autre sur une certaine
distance :
« Je regardai, et voici, c’était une figure ayant l’aspect d’un homme (c’est-à-dire quelque chose qui avait l’aspect d’un homme, comme le sont les robots par exemple), depuis ses reins en bas, c’était comme du feu (engins luminescents), et depuis ses reins en haut comme du bronze poli.
Il étendit une forme de main (sans
doute semblable à un bras articulé mécanique extérieur à l’engin comme
on en voit équipant les bathyscaphes ou certains robots), et me saisit par les cheveux de la tête et m’enleva entre ciel et terre, et me transporta à Jérusalem… » (Ezéchiel 8 : 2,3)
—————————
Conclusion
Ainsi s’achève le compte rendu qu’il est possible de faire de la Bible.
Comme il est donné de le constater, on est bien loin de ce que les
organisations religieuses qui s’en réclament enseignent à leurs
centaines de millions de fidèles.
Non seulement la Bible regorge de témoignages sur l’existence des
vaisseaux aériens des extraterrestres mais bien d’autres récits
mythiques des civilisations ancestrales attestent aussi de leur
existence et des exactions que leurs occupants commirent à l’encontre
des humains.
La Bible et les autres mythes démontrent de surcroît que ces véhicules
aériens sont utilisés, tant par les « anges » rebelles envers l’Autorité
de DIEU que par ceux qui lui sont demeurés attachés.
L’individu intelligent et de bonne foi, lisant ces citations, possède
désormais les éléments lui permettant de découvrir la réalité que
l’Ancien et le Nouveau Testament expriment.
Une telle prise de conscience, généralisée à tous les peuples,
renforcerait peut-être le ridicule, l’inutilité et l’horreur des
exactions, des guerres, des crimes et des massacres abominables qui se
commettent encore de nos jours au nom de « Dieu », et permettrait
peut-être du même coup d’apporter la paix et la solidarité entre les
hommes.
Source : Michel Girard
http://www.lesavoirperdudesanciens.com/2016/05/les-ovnis-exposes-dans-les-ecritures.html?spref=fb