"N'as tu jamais fais ces rêves, Neo, qui ont l'air plus vrais que la réalité? Et si tu était incapable de sortir d'un de ces rêves ? Comment ferais tu la différence entre le monde du rêve et le monde réel ?"


La Matrice

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Nul n'est plus désespérément esclave que celui qui se croit faussement libre.
Johann Wolfgang von Goethe (1749 - 1832)

Aucun problème ne peut être résolu sans changer le niveau de conscience qui l'a engendré.
Albert Einstein (1879 - 1955)

Parfois les gens ne veulent pas entendre la vérité,parce qu'ils ne veulent pas que leurs illusions se détruisent.
Friedrich Nietzsche (1844-1900)


La perception que nous avons de notre monde, et notre compréhension de ses mécanismes, sont majoritairement influencés par notre conscience, nos croyances et par les égégrores qui y sont rattachés.

En prendre conscience et choisir de remplacer les croyances erronées et nocives par des croyances plus justes et positives nous permet de transformer notre réalité, et de faire de nous des êtres lucides et libres.

Rien n'est réellement solide. Toute forme extérieure est l'expression de la conscience intérieure rendue visible : la VIE et la CONSCIENCE sont une seule et même chose. L'Esprit est le créateur aussi bien que la substance de toutes choses.

"Je te donne maintenant mon savoir et la liberté de marcher sur le sentier que je t'ai ouvert grâce à mes efforts et qui te conduira vers les étoiles. Sois attentif, O homme, prend conscience de ton asservissement et découvre comment te libérer de tes durs labeurs."


lundi 4 août 2014

Sirius et la constellation des grands chiens


Dimanche 1 juin 2014
Publié par Elishean
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La constellation du Grand Chien est l’une des plus anciennes constellations, du fait de la présence de Sirius, l’étoile la plus brillante du ciel (après le Soleil). Proche de l’écliptique, elle n’est visible que quelques mois par an aux latitudes voisines de 45° nord. C’est vers le solstice d’été (21 juin) qu’elle n’est pas visible. Aux autres dates, elle est visible soit très tôt le matin (fin d’été – début automne) soit toute la nuit (fin automne début hiver) soit le soir (fin hiver début du printemps).
Ils sont deux à trottiner derrière le grand chasseur, le géant Orion, attachés aux pas de celui qu’ils accompagnèrent jadis dans ces chasses légendaires. Ils restent fidèles jusque dans l’immortalité au héros, condamné à creuser nuit après nuit son sillon étoilé dans le marbre noir du ciel.
Le premier, le plus grand, se tient debout aux pieds du maître, un scintillant groupe d’étoiles diffusant la silhouette d’un chien. Le second, le petit chien comme un couple d’étoile est situé aux épaules d’Orion.
Les chiens du ciel sont visibles, en plein sud, entre 22 heures et minuit au mois de février.
La constellation du grand chien serait restée dans les limbes si n’eut été de ce joyau unique qui illumine la gueule de l’animal, la somptueuse Sirius.
Il est impossible de la rater, c’est l’étoile la plus lumineuse du ciel. Blanche bleutée, elle étincelle au firmament comme un pur cristal. Elle est 23 fois plus brillante que le soleil, plus massive et plus volumineuse.
À l’origine, elle seule, eut droit à l’intérêt des anciens et à l’appellation de « chien ».
La constellation est une création plus tardive fabriquée par les astronomes de l’antiquité avec des étoiles voisines, mais dont l’éclat est éclipsé par celui de Sirius.
Selon les interprétations, le grand chien se tient debout sur ses pattes arrières faisant fête à Orion ou bien il trotte en arrière.
Sirius est tantôt l’œil de la bête, tantôt le feu qui sort de sa gueule ou parfois de sa truffe humide.
L’animal lève une patte avant celle qui porte l’étoile  » Mirzam » ( l’annonceur) ainsi nommée car elle se lève juste avant Sirius, c’est une rareté, il n’y a que quelques dizaines d’exemplaires connus. Wezen, une super géante distante de 2100 années-lumière, s’accroche à l’arrière train frétillant du chien. Si elle avait été plus proche, elle faisait une bouchée de Sirius car sa luminosité est 2600 fois supérieure à celle ci.
La patte arrière droite de la bête porte  » Adhara » la vingt-deuxième étoile la plus brillante du ciel, elle brille comme 9000 soleils. « Aludra » sur la cuisse gauche au niveau de la queue, achève la silhouette du chien. C’est une étoile super géante 55 000 fois plus lumineuse que le soleil.
Elle aurait pu rivaliser avec les bijoux du maître Orion, au lieu d’être condamnée, comme ses compagnes à vivre dans l’ombre de la diva céleste.
Les Égyptiens voyaient en Sirius, l’Étoile du Nil ou l’Étoile d’Isis. L’astre avait en effet à cette époque la particularité de se lever juste avant l’aube, au premier bâillement du soleil au moment du solstice d’été. Les crues bienfaitrices du Nil avaient lieu juste après cet événement.
Les Égyptiens vouaient une reconnaissance particulière à l’étoile, au point de l’associer au culte de la déesse Isis.
Sirius était le chien du ciel pour tous les anciens. Les Chaldéens la nommaient  » L’Étoile du Chien en tête « , les Babyloniens  » l’Étoile du Chien « , les Assyriens et les Akkadiens  » le Chien du soleil « . Les Chinois voyaient en elle un loup et les aborigènes d’Australie un aigle.
Les Grecs et les Romains traitaient Sirius comme un bâtard enragé au lieu de le sacraliser car son lever héliaque annonçait l’arrivée des grandes chaleurs estivales. Ils pensaient qu’elle donnait la fièvre aux hommes et qu’elle rendait les chiens fous et cela a perduré jusqu’à la renaissance italienne et c’est pour cela que l’on parle encore aujourd’hui de canicule -de Canicula, « la petite chienne  » le nom romain de Sirius.
Pour désigner les jours les plus chauds de l’année, le nom actuel de Sirius dériverait directement des mots grecs qui signifient  » l’Étincelant  » ou  » brûlant « .
En dépit de sa beauté, Sirius n’est ni un dieu ni un héros et sa légende est liée à une série de constats astronomiques. Mais le ciel a tout de même pallié à cette carence, l’a dotant d’un curieux compagnon  » Sirius B  » qui gravite autour d’elle en 50 ans, c’est une naine blanche, la première à avoir été découverte. Sa luminosité est 400 fois inférieure à notre soleil ainsi que sa taille qui est 50 fois plus petite que celui-ci. Elle demeure indécelable à l’œil nu.
Pour rester dans l’histoire de couple, deux étoiles forment la minuscule constellation du  » Petit chien « . La plus remarquable est Procyon, dont le nom grecs signifie  » Avant le chien  » car elle se lève avant Sirius.
Procyon est la huitième étoile du système par ordre d’éclat et l’une des quinze plus proches connus de nous car sa distance est 11,5 années-lumière. Elle est six fois plus lumineuse que le soleil et a le double de diamètre. Là encore le ciel la doté d’un compagnon  » Procyon B  » qui ressemble comme deux gouttes de nuit à Sirius B, une naine blanche.
Les anciens ne voyaient pas uniquement des étoiles dans les constellations, ils percevaient quelques amas, nébuleuses et galaxies dont l’aspect floconneux les intriguaient beaucoup.
Dans le grand chien au sud de Sirius se trouve l’amas d’étoiles  » M41″.
En -325 avt J.-C, le philosophe grecs Aristote fut le premier a le repéré le désignant comme l’un des rares points nuageux de la voûte céleste. Situé à quelque 2300 années-lumière,  » Messier 41″,
Est un amas ouvert regroupant une centaine d’astres. Un splendide poudroiement stellaire constitué d’étoiles bleues et rouges, séparées par deux ou trois années-lumière seulement.
Vue de là-bas, la voûte céleste doit étinceler de dizaines de Sirius. Une vraie meute…

EXTRAITS D’UNE CANALISATION DE JEAN LUC AYOUN : O.M. AÏVANHOV – 16 mai 2010

« Rappelez-vous et je vous le dis si vous le savez pas, que ceux que vous appelez animaux (vos chiens, vos chats, les animaux domestiques, certaines races d’animal sauvage) sont une parodie de la Création. Parce que les méchants garçons, les mauvais garçons, quand ils sont arrivés dans ce monde, ils ont créé eux-mêmes des formes de vie pour se moquer, si vous voulez, de certaines lignées. Et ils ont créé, volontairement, des formes animales, comme vous les appelez, qui n’ont rien d’animal d’ailleurs, parce que je vous garantis que, pour certaines lignées et certains peuples venant au sein de la Confédération Intergalactique, les animaux, c’est nous, au sens où vous l’entendez, vous, aujourd’hui. Vous voyez un petit peu le retournement, n’est-ce pas ?
Alors, il faut avoir la sagesse de comprendre que les formes animales que vous voyez ne sont qu’une représentation (un peu moqueuse, je dirais, connaissant les Dracos, je dirais même un peu, beaucoup, moqueuse) de ce que sont les autres lignées. Bien évidemment, eux, ils ne se sont pas créés en tant qu’animal, n’est-ce pas, hein. ? Vous verrez pas un Draco sous forme animale. Et donc, les animaux ne sont pas ce que vous croyez. Ils sont une représentation des lignées spirituelles parfois les plus élevées. Cela vous le savez déjà, par exemple pour les mammifères marins, qui viennent de Dimensions extrêmement plus évoluées que l’être humain actuel présent sur Terre. »
« Les lignées correspondent en fait, aux différentes parts de vous qui ont permis votre propre création, parce qu’on peut imaginer que vous ayez pris tel don, telle fonction, au sein d’un monde spécialisé dans cette fonction. Par exemple, les êtres de Sirius, Sirius A, qui sont des Delphinoïdes, sont des maîtres généticiens. Les Dracos, dont nous parlions tout à l’heure, dont la plupart viennent de la Grande Ourse, sont des, comment on pourrait appeler ça, c’est difficile de trouver l’analogie au sein de votre monde, on pourrait dire des manutentionnaires. Il faut pas qu’ils m’entendent hein, mais ce sont des êtres très puissants qui interviennent dans l’agencement de certaines formes au niveau des Dimensions, avant qu’ils se décident à créer la dissociation.
Ensuite vous avez des êtres, par exemple, qui sont spécialisés dans la compréhension de ce que vous appelez les fractales et qui vivent dans des univers fractals, totalement, ce sont les Arcturiens, qui sont en fait des Léonins, qui ont des têtes de lions.
 
Vous avez Sirius B, avec des têtes de chiens. Mais n’allez pas dire aux chiens que vous considérez comme un animal, parce que là vous serez très mal reçus. »

Croyance Dogon :

Sirius B, celle que l’on nomme « L’étoile Digitaria »; les Dogons la considèrent comme la plus petite et la plus lourde des étoiles; elle contient les germes de toutes choses. Son mouvement sur son propre axe et autour de Sirius soutient toute la création spatiale.
La tradition des Dogons, (d’après le prêtre OGOTEMMELI ), dit aussi que leurs ancêtres étaient des hideux amphibiens et c’est pour cela qu’ ils célèbrent l’anniversaire de leur arrivée sur Terre sous le nom de « jour du Poisson » et cela fait encore penser à la tradition Sumérienne qui nous parle d’OANNES l’homme poisson qui apparut à plusieurs reprises sur les plages du Golfe Persique pour civiliser et éduquer les hommes.
Le NOMO était rouge comme le feu quand il atterri au Nord-est du pays, dans un tourbillon de poussière, puis il fut traîné dans une dépression remplie d’eau et il pu ainsi flotter. Puis les astronautes amphibiens sortirent de la capsule. D’ailleurs l’eau joue un grand rôle chez les Dogons qui considèrent que l’eau douce est de nature masculine et l’eau de mer de nature féminine que cette eau est la force vitale de la terre, force qui se trouve même à l’intérieur de la pierre car l’ humidité est partout.
NOMO, qui désigne aussi le Commandant du vaisseau, est descendu sur la terre, porteur de fibres végétales tirées des plantes qui poussaient déjà dans les « champs du Ciel » et après avoir créé la Terre, les plantes et les animaux, il créa le premier couple humain, qui engendra par la suite, les huit grands ancêtres de l’Humanité. Sa tâche terminée, Nomo regagna le Ciel.

Sirius chez les Perses :

Si aujourd’hui les mystères de Sirius (d’après les Dogons) sont largement connus des anthropologues et autres spécialistes en la matière, en revanche aucune étude n’a était entreprit du côté de la civilisation Perse. Tout comme les égyptiens, les perses accordaient une place centrale au système de Sirius.
D’après Robert Temple les Dogons sont entrés en contacte avec de « hideux extraterrestres Amphibiens » : les Nommos, il y 5000 ans. Pourtant les Perses connaissaient déjà Sirius depuis plus de 7000 ans !
Vénéré par les anciens Mages et les anciens zoroastriens, Sirius était alors appelé Tištriya (tri-str-iya ; composé de trois étoiles !) ; ce qui littéralement veut dire : L’étoile à trois ! Que le Véda pût leur emprunter ce nom, cela montre à suffisance que les connaissances astronomiques des Perses étaient largement réputées à époque fort ancienne jusque dans l’Inde védique.
L’appellation de Tištriya est en soi la preuve que les Perses connaissaient le secret de Sirius. Dans la mesure où le premier satellite de Sirius a été découvert qu’en 1862 (par l’astronome américain Alvin.Clark) et le deuxième seulement en 1932, il  est évident que l’hypothèse d’un réel contacte entre les habitants de Sirius avec le clergé des Mages Mazdéens doit être prise au sérieux.
Les zoroastriens vénéraient les étoiles, et chaque étoile possédait un rang et une place spécifique. Le général qui commande aux étoiles est Tištriya. Le soleil et la lune honore le grand général qui est à la tête des étoiles dans le combat contre les démons. Celui-ci compte sur les planètes pour lui prêter main forte. Tištriya et le patron des eaux. Il est le dispensateur de la vie, des richesses, du bonheur et il joue un rôle prépondérant dans le cycle des eaux. Avec l’aide des vents, il prend les eaux du lac sacré Varukarta (la voie lactée), mais pour accéder à ce lac, il doit lutter contre Apausha, le démon de la misère. Sa victoire, conditionnée par la correction du culte qui lui est rendu, ramène la pluie pour que les rivières se gonflent et que la terre en soit irriguée. Tištriya était également connu pour possédait toutes les germes de la vie.
Les Dogons disaient que si une petite pierre de Digitaria tomber sur terre, personne ne serait capable de la soulever tellement elle serait lourde. Les récentes études scientifiques qualifient Sirius B comme étant une naine blanche d’une incroyable densité ! Une pincée de la matière de Sirius B pèserait environ 100 000 tonnes !

Le cycle Sothiaque et Sirius chez les Egyptiens :

Sirius était connu des anciens égyptiens comme étant le Grand Pourvoyeur. Elle est constamment invoquée dans les textes des pyramides :
Isis vient à toi, Oh Osiris joyeux dans ton amour
Ta semence pousse en elle, pénétrant comme Sirius.
Le pénétrant Horus se présente devant toi au nom de Horus-qui-est-en-Sirius.
Il semblerait que les anciens égyptiens considéraient Sirius comme étant le centre de notre système solaire. Ils utilisaient un calendrier à la fois, solaire, lunaire et Sothic. Le premier jour du premier mois de l’année fixe, ou la fête du nouvel an était déterminé par rapport au lever héliaque de Sirius.
Un cycle Sothiaque est le laps de temps qui s’écoule entre deux levers de Sirius dans la partie orientale du ciel directement à l’aplomb du soleil. Sa durée est très exactement 365,25 jours, soit douze minute de plus que celle d’une année solaire. La date exacte du lever héliaque de Sirius (le jour du nouvel an) était calculée à Héliopolis la ville sainte des scriptes et des magiciens, pour être ensuite communiquée à tous les autres grands temples de la vallée du Nil.
Les égyptiens attribuaient la déesse Isis (la mère d’Horus) à Sirius. L’étoile était également connu comme étant la demeure des dieux, le paradis céleste, une sorte de l’au-delà où irait les Pharaons après leurs morts.

Dans la grande pyramide « cosmique », Sirius occupe l’emplacement de la « porte » obstruant le conduit dont il est la cible dans la pyramide terrestre. D’où l’appellation des portes des étoiles attribuée à Sirius. Dans la grande pyramide la chambre de la reine servait à un accouplement symbolique (rituel de fécondation astrale), auxquels participaient le roi Horus sous sa forme humaine et la déesse Isis sous sa forme astrale (l’étoile Sirius). Dans le cadre d’un dualisme ciel-terre, on pouvait les croire mutuellement réliés par le conduit sud orienté vers le passage au méridien de Sirius, tel qu’il se présentait à l’âge des pyramides. Selon les textes des pyramides, Osiris a fécondé Isis à l’aube, au moment où Sirius (Sothis) traversait le méridien.

La double nature de Sirius était également connue des égyptiens de l’antiquité qui l’assimilaient à la double nature de l’âme et à l’éternel quête de l’âme sœur.

Sirius en Astrologie

Selon Aratus, Canis Major est l’un des chien de chasse d’Orion. Le chien est un animal universellement connu comme étant le gardien de l’au-delà.
Chez les zoroastriens il sert à éloigner le démon Nassoudj des corps des morts ! Chez les égyptiens il devient Anubis, le juge des morts et le dieu de la momification.
L’étoile se trouve toujours à 13° de Cancer. Selon Ptolemé Sirius à une nature Jupitérienne. Robson dit qu’elle apporte les honneurs et la renommée. Ebertin dit qu’une personne marquée par l’étoile risque de précipiter les choses. Bien placé dans une carte natale, elle peut faire que le plus petite action de la personne ai une répercussion collective. Mais en même temps l’individu risque d’être sacrifier pour son ambition.
Abraham Lincoln est née lorsque Sirius culminait alors que son Venus déclinait. Il combattu et mourut pour son idéal (la liberté du peuple). La princesse Diana naquit avec Sirius culminant avec son soleil. Sa mort l’a rendue immortelle !
Dans une carte natale Sirius bien placé, indique que par vos propres efforts, vous pouvez gagner plus que ce que vous auriez du. Une petite action peut devenir un symbole collectif. Autrement dit Sirius peut apporter la gloire, mais vous risquer de vous brûler les ailes.

Anubis le Chien de Culann

Le chien de Culann se trouve sous la gorge de Kernunnos coincé entre ses pattes. Il se trouve assis, sa tête regarde l’Est. Par sa gueule entre une source la fontaine des Vaches. La tête à pour lieudits cul de Chavenois, les Haut de Vau, elle culmine à 262 mètres. Au-dessus se trouve le Bois de la belle Tête. Dans le corps du chien on trouve les lieudits Sous le bois Liegeois, le ruisseau de chavenois avec un petit étang, les Hayottes, Prè aux Choux, Voiselieux, les routes, les Côtes, Basse Lay. Pour les jambes Haute Lay, tour Sainte Arnould, Grandes vignes et Lay Saint Christophe.
Le point de départ de l’étude est une légende concernant le Tombeau du soleil. Vous retrouverez le texte en entier dans le blog sur la fibule de Ramecourt à Tomblaine. Voici la partie qui nous intéresse :
Le site Tomblaine-Sainte-Geneviève a donc bien toutes chances d’être un Tumulus Beleni, un tombeau du soleil, au même titre que le site Tomblaine-Mont Saint-Michel en Normandie. On peut rechercher une présence gigantale dans les environs. Et nous trouvons Lay-Saint-Christophe. Saint-Christophe, le géant chrétien qui porte le Christ (Christophoros: le Porte-Christ), et donc indirectement le soleil.
Et Saint-Christophe (qui était anciennement représenté avec une tête de chien !) était justement l’un des principaux adversaire de Gargan(tua), « fils spirituel » de Belenos.

LE MYSTERE DE SIRIUS

Mbote les BAKONGO
La constellation du CHIEN est le groupe d’étoiles dont fait partie SIRIUS.
Ce groupe d’étoiles est au SUD de la magnifique constellation d’ORION.
SIRIUS était connue des anciens égyptiens sous le nom de SEPEDET associée à ISIS.
Il y a plus de 4236 ans avant notre ère que le premier calendrier sidéral basé sur le lever heliaque de SIRIUS (cette étoile précède le lever du SOLEIL) a été créé en EGYPTE ANTIQUE par nos ancêtres NOIRS.
Tous les 1460 ans se fait ce phènomène astronomique important car le lever de SIRIUS marquait le NOUVEL AN EGYPTIEN.
La GRANDE PYRAMIDE de GUIZEH est orientée sur le BAUDRIER D’ORION avec deux ouvertures l’une sur SIRIUS l’autre sur la POLAIRE.
Pour les égyptiens SIRIUS étaient associés à la déesse ISIS et à la crue du NIL source de vie des égyptiens.
Nous savons grâce aux DOGON que SIRIUS est une étoile double qu’ils appellent SIGI TOLO (sirius A) et PO TOLO(sirius B).
Deux divinités sont associées à ces deux étoiles le NOMMO pour SIGI TOLO et le OGO pour PO TOLO.
Ces deux divinités des DOGON sont en fait OSIRIS/NOMMO et SETH/OGO (lire la cosmogonie des DOGON).
Chez les BAMBARA ils sont appelés FARO/NOMMO et MPEMBA/OGO.
Chez les BENA KONGO : ZITA DIA NZA
Chez les DUALA : NSOTE
Chez les SAHARIENS : SAHEL
Chez les PEULS : KOODAL l’étoile à 5 branches comme chez les égyptiens.
Le mot CANICULE vient du fait lors du lever héliaque de SIRIUS, une fournaise de chaleur s’ajoute à celle du SOLEIL fortifiant certains (hommes, animaux, plantes) et détruisait d’autres.(attention les MINDELE)
En fait SIRIUS est l’étoile de la plénitude du SAVOIR.
D’autres peuples d’AFRIQUE NOIRE connaissent et vénèrent cette étoile mystérieuse.
Les FANG la nomment AKI NGOSS EYO (l’oeuf de cuivre de EYO)
Les DOGON, BOZO, MINIANKA, BAMBARA célèbrent le SIGI (une fête liée à SIRIUS tous les 60 ans) quand SIRIUS est alignée avec JUPITER et SATURNE.
C’est la fête de la venue de la PAROLE associé au NOMMO et à l’invention de la MORT.
C’est seulement en 1862 que SIRIUS été découverte en EUROPE et en 2001 que les EUROPEENS ont obtenus un cliché de SIRIUS B qui confirmait le SAVOIR MILLENAIRE des DOGON.
Un magazine CIEL ET ESPACE (numéro mars 2006) dit à la page 14 : « comment les DOGON dépourvus de télescopes, ont-ils eu accès à ce savoir? Il n’existe toujours pas de réponse ferme à cette question. Les explications les plus raisonnables mettent en avant un contact avec les OCCIDENTAUX avant l’arrivée des ethnoloques français MARCEL GRIAULE et DIERTELEN, ou plus simplement une similitude fortuite entre un mythe et la réalité astrophysique. Reste une autre possibilité les DOGON auraient acquis des EGYPTIENS leur savoir sur SIGI TOLO/SIRIUS et auraient interprété son rougissement comme le signe qu’elle possèdait un compagon invisible SIRIUS B /PO TOLO.3
Ils sont MEPRISANT ces MINDELE.
Pour les BOZO cousins des DOGON, SIRIUS est la grande étoile qui leur a enseigné le secret du temps dont le symbole est le POISSON.
MBOCHI, DOGON, EGYPIENS ANTIQUES assimilent le sacrifice de leur héros culturel (OSIRSIS/NOMMO/FARO) au sacrifice de SERPENT COSMIQUE qui produisit à l’origine du monde et sépara tête et queue, saison des pluies et saison sèche et à l’explosion qui partagea l’ETOILE-MERE en constellations scintillantes.
SIRIUS est l’ETOILE DES NOIRS.
Les égyptiens représentaient SIRIUS sous la forme des deux soeurs jumelles ISIS et NEPHTYS couplées à OSIRIS et SETH.
ISIS était associée à la vie, la fécondité et à l’humidité.
NEPHTYS était associée à la mort, la stérilité et la sècheresse.
Les BAKONGO ont construit le KONGO DIA NTOTELA sous la configuration astronomique de SIRIUS  » ZITA DIA NZA ».
Cela rappelle étrangement les constructions égyptiennes orientées vers les CONSTELLATIONS DU CIEL.
Le temple de IOUNOU/HELIOPOLIS était orienté dur la constellation de SIRIUS
Celui de HET KA PTAH/MEMPHIS était orienté sur la constellation du LION
Celui de WASSET/THEBES était orienté sur la GRANDE OURSE.
Ce sont les mêmes configurations astroniques du KONGO DIA NTOTELA qui se trouve sous ces 3 constellations associées à:
KONGO KALUNGA/NSAKU (HOSI/LION) prêtrise couleur bleue : NTU A NKOSI (LA TETE DU LION)
MBUMBA/MPANZU (ZITA DIA NZA/SIRIUS) science couleur jaune : NTIMA NKOSI (LE COEUR DU LION)
MPUNGU/NZINGA (KIBELETE KIANENE/OURSE) politique couleur rouge : KIANDU KIA NKOSI (LE TRONE DU LION)
Les entités de SIRIUS nous surveillent en attendant la fin de notre cycle pour se révéler.
C’EST DE CETTE ETOILE (KAKONGO = SIRIUS « B ») QUE PROVIENDRA LE GRAND ETRE DE L’ESPACE : LE « NKUA TULENDO »….
QUI VIVRA VERRA.
Bonne lecture.
NTUMUA MASE
http://mbutamassee.afrikblog.com
A LIRE : L’histoire de l’humanité, avec Orion, Sirius, les Pyramides …