par Laurent Van der Wee
Cet article est un extrait du volet I de mon e-book Ensemble pour un nouveau monde que vous pouvez vous procurer en remplissant le formulaire plus bas. Il compare deux civilisations, une nouvelle éveillée spirituellement et une ancienne plus dense. Aussi, je fais le pont avec des suggestions concrètes pour passé d’une à l’autre dans le volet II.
De plus Ensemble pour un nouveau monde est aussi un projet où j’invite les enfants, les adolescents et les jeunes adultes à se questionner pour qu’eux aussi trouvent des solutions pour que tous ensemble nous bâtissons notre nouveau monde. Voir les détails à la fin de l’e-book
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La santé
Le fonctionnement du corps humain est très mal compris dans
l’ancienne civilisation. Les individus voient l’être en trois parties
séparées. Le corps, le mental et l’âme. L’âme pour ce peuple est un peu
ésotérique, donc très peu de gens consacrent du temps pour se
reconnecter à leur âme. Aussi, ils se voient séparés de leur corps.
Lorsqu’ils ont une blessure ou une maladie, ils voient cet évènement
comme le fruit d’un hasard et non comme un évènement en lien direct avec
ce qu’ils vivent à l’intérieur d’eux.Les gens malades ou blessés se posent peu de questions sur l’origine de leur souffrance. Leur conclusion suite à un accident, sera d’être plus prudente à l’avenir. Exemple, si un proche se fait mal à la tête en ski, ils diront que c’est parce que la personne ne portait pas de casque. L’accident est donc le fruit du hasard et pour s’en protéger ils doivent porter un équipement spécifique.
L’industrie, via la publicité et les médias qu’elle détient, incite l’être humain à se protéger en lui faisant peur. Elle lui fait croire, par de multiple moyen, qu’il est en danger et vulnérable en tout temps. Les médias de cette civilisation portent attention sur tous les accidents et catastrophes que l’être humain peut vivre, lui montrant quotidiennement des images d’horreur. En même temps, par la publicité, l’industrie incite l’individu à se protéger en achetant des assurances et des équipements de protection de toute sorte. De plus, des lois sont mises en place pour obliger le citoyen à dépenser de l’argent pour se protéger.
La croyance collective véhiculée par ce système est que l’individu doit avoir recours à quelque chose d’extérieur à lui-même pour se protéger, alors il se déconnecte de son être intérieur qui le guide. Déconnecté de sa conscience et de son intuition, il est vulnérable. Étant vulnérable il vit des accidents et des maladies. Ces proches en profitent pour lui dire qu’il aurait dû faire ceci ou cela pour se protéger davantage. Une spirale descendante est donc activée.
Les hôpitaux
Lorsque l’individu de l’ancienne civilisation est blessé ou malade il va à l’hôpital. Dans cet endroit les intervenants voient le corps séparé de la conscience de l’individu, il le traite comme un objet séparé. Ils gèrent la maladie ou la blessure de la même façon qu’ils réparent une voiture ou un autre équipement matériel. Ils essayent, tant bien que mal, de réparer le patient en lui donnant toutes sortes de substances créant, dans certains cas, des effets secondaires très dérangent. Si la maladie ou la blessure est plus compliquée, on lui enlève une partie du corps ou on lui ajoute une partie artificielle.
Dans cette civilisation, les intervenants travaillant dans les hôpitaux sont formés par les recommandations de l’industrie. C’est avec l’argent des financiers, derrière les entreprises, que les institutions d’enseignement sont financées. Les programmes de formation sont créés en fonction de l’industrie et non en fonction des besoins de l’humain. Un médecin ou une infirmière recevra l’enseignement scolaire que l’industrie veut bien lui donner et ainsi, sans s’en rendre compte, les intervenants de la santé contribuent à l’industrie au détriment de la santé de leur patient. La mission de l’industrie n’est pas la même que l’intervenant, mais c’est l’industrie qui dicte les règles.
Le but des entreprises de cette civilisation, derrière le système de santé, est de faire de l’argent. Ce sont eux qui réalisent les recherches médicales et par l’intermédiaire de brevet ils ont l’exclusivité d’un médicament pendant une période de temps. Chaque médicament est vendu aux hôpitaux ou aux individus. Aussi, très peu de maladies sont guéries totalement via ce système, car l’orientation de la recherche est mise sur le soulagement des symptômes via des médicaments brevetés plutôt que sur la guérison. La guérison n’est pas lucrative pour ces entreprises.
Il y a des gens qui réussissent tout de même à guérir dans ce système. Par conséquent, ces personnes ne voient plus la vie de la même façon. Quelque chose à changer en eux. La blessure ou la maladie leur a fait prendre conscience de fait qu’ils ne voulaient pas voir ou admettre dans leur vie. Leur conscience s’est élevée. Ils ne vivront plus de la même façon et ne vivront plus les mêmes blessures par la suite. Les gens de cette civilisation croient que c’est le système de santé qui les a guéries, mais ce sont eux qui l’ont fait par des prises de conscience. Pour les autres, ils ne guérissent pas vraiment. Le système allonge leur durée de vie, mais la blessure est toujours là. C’est la raison pour laquelle une personne ayant le cancer dans cette civilisation aura une rechute si son niveau de conscience n’a pas augmenté. Une personne ayant la goutte, du diabète ou un taux de cholestérol élevé sera régularisé par des médicaments, mais si la blessure intérieure n’est pas guérie, d’autres désagréments physiques s’additionneront jusqu’à la mort.
La nature et la guérison
Les ancêtres de cette civilisation utilisaient la nature pour se guérir. La nature comporte tous les éléments nécessaires à la guérison du corps humain si en même temps le patient élève sa conscience sur ce qu’il vit et les raisons qui s’y rattachent. L’industrie de cette civilisation a complètement irradié la nature de ses recherches de la guérison, car les produits faits à partir de plante ne sont pas brevetables, donc pas rentables. Comme les entreprises fabriquant les médicaments sont celles qui réalisent les recherches, ceux-ci doivent s’assurer que la recherche aboutira sur un médicament assez rentable pour payer la recherche et faire un profit. Les méthodes de recherche sont donc très limitées.
La nouvelle société est connectée à la nature. Elle y trouve tout ce dont elle a besoin pour garder son équilibre. Cette société a compris que pour garder une harmonie intérieure l’être humain doit harmoniser sa fréquence avec la nature. C’est l’harmonisation de cette fréquence qui guérit le corps et le garde en bonne santé. Alors il ne fabriquera pas de substance ayant une fréquence vibratoire différente de celle de la nature. Pourquoi le ferait-il? Comment une substance déséquilibrée pourrait-elle les guérir?
La maladie et la blessure
Les gens de la nouvelle société savent que la guérison d’un être humain passe par la prise de conscience de ce qu’il vit et de ce qu’ils croient. Les blessures et les maladies ne sont qu’une manifestation physique d’un dérangement mental et émotionnel. Ce sont les fausses croyances qui, par l’intermédiaire de pensée et d’émotions, crée un dérèglement dans le corps ou attire une blessure physique. Dans cette société, les gens ne voient pas le système de santé comme une force extérieure qui les guérit. Ils voient le système de santé comme des outils qui les accompagneront dans leur guérison. Ils savent que la vraie guérison ne peut se faire que par eux-mêmes. Ce système n’est pas basé sur le soulagement des symptômes, mais sur la guérison. Ils connaissent le fait qu’aucune guérison n’est impossible si l’individu ne le souhaite pas réellement et s’il n’est pas prêt à voir et ressentir ce qui provoque le dérèglement en lui.
L’ancienne civilisation vit un dérèglement collectif majeur créant de nombreuses maladies. Les croyances les plus profondes de cette collectivité sont fausses. Les gens souffrent d’un manque d’amour profond relier à la croyance qu’ils sont séparés du tout. L’amour étant une énergie vitale, lorsque l’être humain croit qu’il va en manquer, il a peur. Ils sont terrifiés par la pensée qu’ils peuvent manquer d’amour. Le plus fascinant de cette civilisation, c’est que ce fait est peu reconnu. Les gens ont peur, mais ne lient pas leur peur au manque d’amour. De plus, ils croient que l’amour doit venir de l’extérieur. Ils croient que les gens doivent les aimer pour qu’ils ne manquent pas d’amour. Ils ne savent pas qu’ils reçoivent l’énergie d’amour que s’ils aiment eux-même. Ce n’est pas possible de recevoir de l’eau si le robinet est fermé. Pour ouvrir le robinet d’amour en eux, ils doivent aimer. Ainsi, lorsqu’ils aiment il se connecte au tout, mais lorsqu’ils ont peur de ne pas être aimés, ils ne sont pas en train d’aimer, donc ils ne reçoivent pas d’amour.
Le corps
Les gens de cette civilisation se sont coupés de leur corps. Le manque d’amour fut si douloureux qu’ils se sont coupés de leur corps pour ne plus ressentir la douleur. Cette coupure les a empêchés de s’autoguérir parce que c’est en écoutant le corps, ce baromètre, que la guérison est possible. De plus, l’énergie d’amour qui se vit dans le corps est plus subtile que la sensation que provoque une peur. Du moins pour celui qui débute sur ce chemin. Ainsi, une personne de cette civilisation, s’étant coupée de son corps et vivant une peur, pourra ressentir l’amour seulement si elle décide à priori de ressentir sa peur complètement.
Dans la nouvelle, le désir de ressentir fait partie de la richesse de vivre dans la matière. C’est par le ressenti que l’individu s’épanouit. Il prend le temps dans le moment présent de sentir et ressentir tout ce qu’il fait et ce qu’il vit. Il ne court pas et prend son temps en ressentant la vie à tout moment. Il prend conscience que l’âme qu’il est ressent tout à travers le corps. Il se guérit facilement, car il est à l’affut de tout ce qui se passe dans son corps. S’il venait à y avoir un débalancement, il le saurait immédiatement. Il observerait la pensée créatrice de ce dysfonctionnement et la changerait aussitôt.
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