telosIII
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Adama, transmis par Aurelia Louise Jones
Bénédictions à vous tous présents aujourd’hui ! Je vous invite au grand Temple du Savoir à Telos. A l’intérieur de ses murs se trouve la bibliothèque de notre lignée lémurienne, un conservatoire d’expériences sous forme cristalline.
Ces cristaux empruntent diverses formes, couleurs et dimensions, chacun étant doué de sa fréquence propre afin de représenter et d’exprimer l’information qu’il détient.
Je vous convie en ces lieux aujourd’hui afin que vous puissiez reconnaître la vérité de la vibration de cet endroit, car c’est votre miroir. Il s’agit d’une reproduction du temple qui réside dans votre corps physique, dans la structure cellulaire cristalline que vous habitez et préservez. Je vous prie de vous connecter par la conscience à l’énergie de la grille cristalline de la planète Terre, afin que nous puissions tous être reliés ensemble et continuer notre exploration du cœur de la Lémurie.
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Aujourd’hui, je souhaite vous parler du pardon, la plus sublime vérité que vous puissiez obtenir de la pratique du cœur de la Lémurie. Le pardon, c’est la nature même du Créateur et du divin.
Le pardon est l’un des aspects importants qui sustentent la vie spirituelle et émotionnelle. Il existe un degré encore plus profond de la divinité qui reconnaît, affirme et vit la vérité qu’il n’y a rien à pardonner. Il n’est pas possible de créer cette réalité ; il faut la découvrir. Vous avez présentement la chance de l’apprendre pour vous-même et notre formidable Terre mère peut la vivre avec nous tous.
Plusieurs d’entre vous ont atteint un stade sur la voie spirituelle où ils affrontent les traumatismes créés par les expériences antérieures. Vous rencontrez, d’une part, colère, chagrin, amertume et honte et, d’autre part, joie, sagesse, amour, créativité et vérité.
La honte, c’est cette certitude illusoire que le mal que vous pouvez faire ou que quelqu’un d’autre pourrait vous faire n’est pas rachetable ou pardonnable. Votre société et votre peuple vous l’ont inculquée.
Les traditions religieuses et les systèmes de valeurs l’enseignent.
En réalité, cependant, des évènements survinrent jadis alors que vous n’aviez pas la sagesse pour les comprendre. Ni dans notre dimension, ni dans la vôtre, il n’y a de victimes. Nous avons tous choisi de nous incarner ici et de vivre le spectre complet de l’expression physique du divin. Nous sommes tous des expressions divines du Créateur et nous passons l’éternité à être conscients et à faire nos expériences. Et notre soif d’expériences englobe chaque facette de la divinité.
Lorsque nous nous sommes d’abord incarnés en tant qu’êtres célestes et dieux créateurs, notre expérience était très similaire à celle du Créateur. Au début, le voile entre nous et le Créateur était presque imperceptible. Or, à ce moment, les âmes dévièrent et se distancièrent de l’expérience d’être le Créateur ; elles souhaitèrent éprouver ce que signifiait « n’être pas Dieu » afin de mieux comprendre ce que signifie « être Dieu ».
Par ces expériences, nous avons généré une ignorance de plus en plus obscure et des états de confusion de plus en plus intenses. Au fil d’une longue période de temps, cette différentiation nous a amenés dans des mondes où nous avons choisi d’éprouver encore davantage de souffrances, parce que c’était la voie que notre âme individuelle empruntait. La voie spirituelle de chaque âme reflète l’aspect du Créateur qu’elle souhaite comprendre, comme la joie.
L’âme aura à traverser toutes les expériences requises pour comprendre cet aspect. Ces expériences seront caractérisées par l’absence de cet aspect. Celui qui désire comprendre l’importance et le rôle de la joie, par exemple, optera pour des incarnations dépourvues de ce sentiment.
Ces expériences se sont intégrées à la mémoire cellulaire. Elles sont désormais des schémas assimilés à notre information génétique. Notre lignage génétique s’est incorporé au cœur et à l’âme de la Terre, car son évolution et son ascension ont également participé à notre voyage. D’une incarnation à l’autre, de par les civilisations sur Terre, nous avons parcouru ce chemin. Nous avons vécu le cataclysme et la rédemption. Nous avons engendré la densité de la sphère matérielle et avons été témoins de miracles. Nous sommes venus ici-bas en tant que maîtres de la lumière et de l’amour, mais aussi en tant qu’esclaves d’émotions violentes. Nous avons tous été guérisseurs et meurtriers. Le moment est venu de nous pardonner pour ce que nous avons fait et pour tout ce qui a été commis en notre nom. Le moment est venu de vous connecter de nouveau à la fréquence pure de votre cœur, le cœur de la Lémurie, le cœur du divin.
C’est au sein de cette fréquence que réside l’essence du pardon.
Et en cette essence du pardon, se trouve la réalité de votre essence divine.
Plusieurs d’entre vous déplorent le fait d’être captifs derrière le voile, de ne pouvoir communiquer avec leur famille et leurs amis de l’autre côté du voile. Vous regrettez de ne pas être en mesure de nous rencontrer, de partager notre mode de vie et de vivre dans notre communauté qui vous semble plus agréable et davantage bénie que la vôtre. Je tiens cependant à vous rappeler que le seul voile qui existe, c’est celui que vous avez créé. Le voile qui vous obscurcit, c’est le voile de vos peurs, de vos systèmes de valeurs erronés et de votre tristesse.
Votre souffrance actuelle n’est pas le résultat des traumatismes subis au cours de votre évolution. Elle découle plutôt de votre désir d’éviter et de vous soustraire à la peur et à la tristesse ; vous évitez ainsi d’apaiser votre douleur par le pardon. Forger votre Soi est le phare qui vous ramènera à la fréquence pure du cœur de la Lémurie. Plutôt que d’apaiser votre douleur, vous souhaitez que les choses soient autrement. Vous vous détournez d’elle plutôt que de l’affronter.
Consentez à retrouver et à ressentir la vibration du cœur. De là où vous vous tenez derrière le voile, la plupart d’entre vous sont persuadés que leurs peurs arrêteront leur cœur ou le feront battre à toute allure. De même, les chagrins et la tristesse que vous gardez à l’intérieur de vous vous donnent l’impression que votre cœur se brise, littéralement. Offrez ce cœur brisé à Dieu et permettez au divin en votre cœur sacré d’apporter la guérison.
Naturellement, c’est votre mental qui vous a plongés un peu plus dans le réservoir d’émotions que vous avez éprouvées au cours de vos diverses existences. Sachez cependant que le mental seul n’est pas capable de vous guérir. C’est la fréquence du cœur qui nous guide au travers de ce champ de mines apparent et qui nous nourrit de l’amour de l’Univers.
Chaque fois que vous consentez à ce que cela se produise, vous vous connectez à votre mémoire cellulaire. Vous pouvez dégager la peur ou la tristesse de votre structure physique et de votre lignage génétique d’ADN pour l’éternité. Vous percevez désormais votre corps sous un jour nouveau ; vous avez le sentiment général d’être davantage connecté au corps. Ce dernier devient plus gracieux, plus rapide et il vous semble moins douloureux. Des symptômes peuvent se manifester dans une partie de l’organisme, un organe, un muscle, ou les os.
La fréquence du pardon est celle du cœur. Accéder à votre cœur vous permet d’informer le mental et le corps de ce don, pas uniquement pour cette vie, mais pour l’ensemble de vos incarnations. Plusieurs affirment que l’âme habite la cellule centrale de la glande pinéale. C’est faux. A vrai dire, le corps habite l’âme. L’aura est la plus basse vibration de l’âme. Celle-ci entoure le corps de très près ; elle produit donc l’énergie qui anime l’organisme. L’âme détermine l’état de notre santé.
C’est par la fréquence du cœur que nous nous connectons à notre âme et à celle du divin duquel nous faisons tous partie. Le pardon s’avère la meilleure panacée contre les maladies cardiaques, contre cette dissociation de la fréquence divine et du rythme cyclique de l’existence physique.
Le moyen le plus puissant de se sustenter est d’écouter la vérité de l’autre et de l’accepter. Le degré suivant consiste à entendre la vérité de l’autre, à l’accepter et à l’aimer pour sa différence. Le degré encore plus avancé, est d’entendre la vérité de l’autre, de l’accepter et de l’aimer en dépit de celle-ci. Voilà l’essence du pardon selon laquelle, à vrai dire, il n’y a rien à pardonner.
Le cœur qui bat en vous est le même que celui de la Lémurie. Tendez l’oreille et chérissez-le. Vous n’êtes pas imparfaits et vous êtes tout à fait capables de devenir ce cœur et de vibrer à cette fréquence dans votre être tout entier. Lorsque vous y parviendrez, aucune autre initiation, ni purification ne sera requise avant que vous soyez autorisés à percer le voile.
Tout ce dont vous avez besoin, tout ce dont vous aurez jamais besoin, se trouve en vous. Vous n’avez qu’à modifier votre perception, pas par le mental, mais par le cœur, et cette fréquence se reflètera dans le monde qui vous entoure.
Votre attention s’est reportée jusqu’ici sur le voile de la dualité, qui fut produit par la nature du mental, pas par le cœur. Le mental cherchera toujours à qualifier, à différencier, à mesurer par rapport à l’autre.
Il verra la colère et la méfiance, parce qu’il perçoit l’amour et le calme.
Il verra l’arrogance et l’avidité car il voit aussi l’indulgence et la générosité.
Par ailleurs, le cœur n’a conscience que de l’unité, fruit de l’amour inconditionnel et du pardon. Ce sentiment est ce qui vous permet de cesser de fuir la souffrance qui sévit depuis si longtemps. La lumière de la conscience pénètrera dans les coins de votre âme depuis si longtemps plongés dans l’ombre et vous n’aurez plus à vous priver d’entrer dans le cœur de la Lémurie qui existe autour de vous, vous serez exempts de voiles, en tout temps.
A quoi pouvez-vous vous attendre une fois que vous serez libérés de tous les voiles ? Libérés du jugement et du remord ? Exempts de la peur et de la tristesse ? Affranchis du désir que tout soit différent ? Délivrés de la honte et du sentiment d’être dévalorisés ? Libérés de l’illusion que vous n’êtes pas Dieu ?
Il vous semblera que votre cœur aura éclaté et accédé à d’infinies possibilités et d’éternels bonheurs. Vous découvrirez que tout ce que vous avez jamais désiré était présent en vous depuis toujours. Et le monde environnant présentera cette même fréquence ; nous serons là pour vous accueillir !
Que l’amour du divin se dévoile en chacun de vous par la vibration de votre cœur. Et que le cœur de Lémurie rayonne sur Terre dans toutes les dimensions de l’espace-temps. Voilà notre plus cher désir en ce qui vous concerne. Nous vous remercions d’avoir réfléchi à la question et de vous être joints à nous dans l’amour et l’unité. À bientôt nous retrouver !
Je suis votre ami, votre frère, Adama.
Message extrait du livre
« Telos » – Protocoles pour la cinquième dimension – Tome III
Transmis par Aurelia Louise Jones
Editions Ariane
Trouvé sur http://coeurdechristal.free.fr/

 LA PHASE ULTIME DU PARDON

À tous ceux qui n’arrivent pas à pardonner et à tous ceux qui ont traversé nos vies…

On était amis. On était amants. On était amoureux. On était de la famille. On était liés vous et moi. On s’aimait et c’était vrai, mais la vie étant ce qu’elle est, on ne s’aime plus maintenant, aussi absurde que cela puisse être, c’est la triste réalité.

On ne s’aime plus, pour mille et une raisons et parfois pour aucune.
On devient un peu plus chaque jour des inconnus qui cumulent les anecdotes sans l’autre. On se fait de nouveaux amis, on réalise de nouveaux défis, on vit une montagne russe d’émotions, mais nous ne sommes plus là, ensemble, pour se le partager comme avant. Le deuil est bien vif, car l’amour n’est plus, du moins, c’est ce que l’on cherche à se faire croire pour avoir moins mal, mais pouvons-nous réellement arrêter d’aimer complètement? J’en doute…

La vie n’est que mouvance. On se croise, on se heurte, on s’aime, on se déteste, on se pardonne, on s’oublie, on se remémore, on est pris de nostalgie…

Les relations traversent notre vie et chacune d’elles nous marque à jamais.

On s’habite, on bâtit ensemble et parfois on se déconstruit.

Heureusement, avec un peu de temps, on trouve la force de se reconstruire avec ou sans l’autre…

Aujourd’hui, j’ai eu un élan d’amour pour vous tous qui avez quitté ma vie : amis, amoureux, amants, connaissances, collègues. J’ai eu envie de vous écrire à vous que j’ai aimé et que j’aime encore malgré le temps qui passe, malgré les remous et les explosions qu’il y a pu y avoir entre nous. J’ai envie de vous dire que vous me manquez même si je sais que de nous revoir ne nous apporterait rien de bon en ce moment, même si je sais que rien n’a changé.

J’aurais souhaité que nos chemins se soient croisés différemment pour que l’on puisse encore marcher ensemble à ce jour.

J’aimerais pouvoir encore vous consoler, vous prendre dans mes bras et vous accompagner sur votre chemin de vie dans les moments difficiles comme nous le faisions avec sincérité avant, mais notre lien ne nous le permet plus.

Aujourd’hui, j’ai envie de vous dire que j’ai décidé d’accueillir et d’accepter tout ce qui n’avait pas de sens entre nous en vous pardonnant, malgré l’incompréhension qui s’empare de nous sur le moment et malgré toutes les émotions négatives qui rongent l’affection que l’on se porte…

ღ J’ai compris que nous ne sommes pas toujours prêts à faire un pas vers l’autre, et ce, même lorsque l’on souhaiterait profondément être en mesure d’y arriver.

ღ J’ai compris que nous ne sommes pas tous conçus de la même façon et qu’il est utopique de croire que tous les gens que l’on aimera dans notre vie pourront nous rendre heureux, au bon endroit, au bon moment, de la bonne façon.

ღ J’ai compris que derrière notre brouillard émotionnel, je ne vous en veux pas, je vous aime et je suis triste que nous n’arrivions pas à nous aimer mieux, ensemble, dans le moment présent.

ღ J’ai compris que je ne pouvais pas vous reprocher vos failles et vos défauts et que je ne pouvais que les reconnaître et assumer que ce sont nos différends qui nous ont séparés.

ღ J’ai compris que d’être séparés les uns des autres ne signifie pas que nous ne devons plus nous aimer, ne plus nous accorder de respect, ne plus être engagés humainement.

ღ J’ai compris que si, demain matin, vous étiez mourants à l’hôpital j’irais tous vous tenir la main, l’un après l’autre, sans exception parce que devant la mort rien n’a d’importance hormis l’AMOUR et je réalise par le fait même qu’on arrête jamais vraiment d’aimer ceux qui ont partagé notre vie, un moment, de façon significative malgré tous les efforts que l’on déploie à les détester ou à jouer l’indifférence.

Au-delà de toutes nos histoires tumultueuses et nos grandes déceptions, il ne reste que l’amour, celui qui traverse le temps et les orages, celui qui décèle toujours dans la noirceur une lueur d’espoir, une parcelle d’humanité bien plus profonde et bien plus importante que nos prises de bec, nos ego et nos vieilles histoires tout effritées.

Je veux vous dire que je vous aime, encore et pour toujours, parce que sans cet amour profond pour vous, je ne me serais jamais arrêtée à vous connaitre et vous dire que je vous aimais. Un cadeau, c’est pour la vie et mon amour je vous l’ai offert, pour le meilleur et pour le pire.

JE NOUS PARDONNE, JE NOUS AIME.

Malgré nos défauts et nos erreurs, malgré les larmes versées et la rancœur. Je nous souhaite d’avoir la force d’accueillir l’avenir doucement sans laisser le passé nous aigrir parce que cela ne sert strictement à rien.

Je veux cultiver la force de vous aimer, toujours et sans condition, pour que vous trouviez en mon pardon et en vous la force de guérir ces blessures avec lesquelles on s’est écorchés.

Nos collisions ne sont que des cris du cœur et nos conflits ne sont que des reflets sombres de nous-mêmes.

Nous avons tellement à apprendre les uns des autres. Soyons reconnaissants de nous rencontrer et d’avancer ensemble, mais surtout aimons-nous bien au-delà de nos gestes et nos mots.

Aimons-nous dans l’espoir d’un monde meilleur. Aimons-nous pour échanger nos forces et nos faiblesses dans le souci de grandir ensemble et non en nous tenant rancœur de ne pas avancer au même rythme, de la même façon et dans la même direction.

À chacun son niveau de conscience, à chacun ses blessures, à chacun ses limites, à chacun ses choix…

Pourquoi ne pas souhaiter le meilleur à ceux qui nous ont offert le pire, ce sont eux qui en ont le plus besoin.

Sans pour autant nous mettre en déséquilibre et en danger, sans pour autant renouer, aimons-nous avec bienveillance et envoyons dans l’univers un amour inconditionnel envers autrui afin de propager l’idée que chacun a le droit au pardon, au bonheur et à l’émancipation.

Au final, derrière ce qui nous déplait tant en l’autre se cache, malgré tout, de la beauté et de la bonté qu’il faut savoir reconnaître avec humilité et tendresse pour réellement trouver la paix dans son propre cœur.

Prenons le temps de nous pardonner.
Prenons le temps d’accepter ce qui nous a éloignés et de voir ce qu’il en reste: l’humanité…
Tenons-nous la main, symboliquement, pour donner un sens à ces mots si puissants que nous nous sommes dit un jour : « JE T'AIME. »

N.B. Ce texte ne soutient pas que nous devons tolérer l’intolérable et apprécier l’inacceptable. Il soutient plutôt que chacun mérite d’être aimé, même ceux qui sont difficiles à aimer! Sans garder des gens toxiques dans notre vie, on peut à tout le moins, leur envoyer de l’amour en souhaitant qu’ils trouvent eux aussi la paix dans leur cœur, car n’est-ce pas ce dont il manque au fond? Puis, n’est-ce pas réellement ce que nous souhaitons tous : la paix dans le monde, la paix dans nos cœurs?

AIMER « malgré » est la phase ultime du pardon selon moi et je nous souhaite à tous d’atteindre ce degré humanité.

Et un jour peut-être aurons-nous le courage de nous serrer dans nos bras une dernière fois pour clore la relation sur une note positive et pour nous dire avec cœur: « JE TE PARDONNE ».
Sans oublier. Sans banaliser. Sans nous bafouer. Sans attentes. Simplement avec humanité et légèreté dans le but de se libérer de cette ancre de peine qui noie notre cœur.

Mademoiselle Mymy