
par Théo Aldaminiel
Depuis des siècles, nous avons engrammé tout un tas de dogmes nous enfermant dans des conditionnements, des croyances et des culpabilités, nous faisant ainsi rejouer les mêmes scénarios, porter les mêmes masques… En ces temps, l’humain est invité à laisser tomber toutes ces images passéistes. Etudions les mécanismes bipolaires de ce monde pour enfin être soi en toutes circonstances.
« Être Soi en Toutes Circonstances » dans un Monde Bipolaire
Depuis des siècles, nous avons engrammé tout un tas de dogmes nous enfermant dans des conditionnements, des croyances et des culpabilités, nous faisant ainsi rejouer les mêmes scénarios, porter les mêmes masques… En ces temps, l’humain est invité à laisser tomber toutes ces images passéistes. Etudions les mécanismes bipolaires de ce monde pour enfin être soi en toutes circonstances.
Cultiver son discernement & être au clair avec son libre arbitre.
En ces temps l’humain est invité à laisser tomber toutes ces images
passéistes. Dans ce dialogue co-existent deux styles de mécanismes
bipolaires :
Le premier mécanisme est lié à une frénésie no-limit, sorte de compulsion maniaque, débridée et inconsciente (alimentation et achat compulsif, sexualité pervertie, addictions aux smartphones et ordinateurs). Ceci nous donne l’illusion de combler un vide depuis l’extérieur, mais en fait nous ne faisons que recevoir de l’information de basses vibrations (notamment avec les ondes) mais aussi avec la junk food et l’alimentation industrielle. Ceci est lié au fait que ne nous ne nous satisfaisons pas de notre vie et de tout ce que nous créons dans notre réalité. Concrètement, vivre avec des basses fréquences nous fait rester dans des émotions et des pensées de basses fréquences. D’ailleurs c’est un des enjeux du nouveau monde, car les élites souhaitent voir l’humain rester endormi, abruti et que surtout jamais, il ne s’éveille à sa nature véritable : nature universelle et galactique. Alors je vous invite à conscientiser quel type d’informations vous assimilez au long de la journée : une chanson, un verre d’alcool, une conversation ? Ceci élève-t-il votre être ou au contraire avez-vous la sensation d’être cloué au sol, dépendant du monde vous environnant ? Quel rôle jouez-vous, est-ce le second rôle ou êtes-vous carrément spectateur de votre vie ?
Le second mécanisme se vit bien souvent sous forme de dépression, sorte de période de sécheresse, de gouffre abyssal… nous sommes gavés d’informations que nous n’arrivons de toute manière pas à intégrer car elles n’entrent pas en résonance avec nous et donc cette information reste à l’extérieur de notre structure. Dans l’image cela reviendrait à nourrir ou communiquer avec un puit sans fond… Cette planète est une planète composée essentiellement d’eau, elle est donc totalement émotionnelle, l’eau relie à l’inconscient, aux mystères du féminin. Dans cette seconde phase bipolaire, nous devons donc être réceptif à nos eaux intérieures, à notre résonance avec la Terre, accueillir ce qui vient de l’expérience et laisser remonter le magnétique, l’émotionnel dans le corps, pour le transmuter à travers le verbe. L’humain a beaucoup de ressources qu’il limite et la phase de dépression nous permet d’entrer en contact avec nos ressources intérieures bien souvent insoupçonnées afin d’en déterrer les trésors.
Se défaire de nos plus grandes peurs !

La peur de ne pas être à la hauteur, hé oui… nous devenons de plus en plus durs les uns envers les autres, toujours plus de concurrence, de capitalisme déstructeur (entêtement à produire), l’obsession d’avoir plutôt que d’être… pour au final constater que le chômage s’accroît et les courbes de croissances économiques stagnent voir décroissent.
La peur de l’autre… En effet, la division et la séparation sont la grande propagande médiatique et politique actuelle, resservie au menu de ceux qui poursuivent les grandes messes des médias conventionnels.
Se défaire de la peur de mourir (héritage des entités sans âme, le démiurge).

Se défaire de la peur de l’abandon (blessure fondamentale de notre humanité).

La peur de vieillir (l’illusion du temps qui passe…)
« Miroir… mon beau miroir… dis-moi qui est la plus belle dans la matrice ? »
« – J’ai peur d’être vieille ! »
« – Mais t’es vieille ! » (Joke ! ^^)
Imprimer son style et sa patte dans un monde de diktats.


Je pense que l’affirmation de notre individualité passe par l’authenticité en toutes circonstances et l’acceptation de notre ego. La violence commence au moment même du rejet de l’ego. En effet, dans les milieux spirituels la volonté de rejeter l’ego peut créer une forme de retenue dans l’expression de ses besoins, dans l’affirmation de Soi. C’est exactement l’inverse du processus de l’harmonisation de l’ego car cela va nous rendre encore plus fragile dans notre besoin de reconnaissance qui est naturel pour tout être. Comment évoluer si je ne me reconnais pas un minimum ? Comment reconnaître l’autre si je ne me reconnais pas moi-même ? L’humain a besoin de repères et l’ego en fait partie. Plus la structure de l’ego (composé par nos sous-personnalités) est à sa place, plus nous pouvons monter haut dans les plans de conscience subtils. Alors seulement nous tendons vers cet équilibre, l’ego est une interface et plus je comprends ses mécanismes, plus je peux jongler dans les interactions que me propose la vie.
Faire tomber les masques liés à nos blessures pour tendre vers la liberté « d’être nous en toutes circonstances. »

Un exemple très amusant (moins quand nous sommes en plein dedans), dans le monde du travail, ce qui n’est pas résolu familialement va se perpétuer justement au sein de l’entreprise, ainsi soyez attentif encore une fois à vos réactions et aux réactions de vos collègues, responsables…
Au-delà du voile du « petit Moi de l’Esprit » vers la « Conscience du Soi ». Se libérer des dogmes judéo-chrétiens et des égrégores humains.

Les êtres stagnants dans les schémas passés ont une tendance à la déprime, à la procrastination, à la perte de volonté, à être gagnés par la sensiblerie et donc à la dilatation (je sais ça peut faire rire mais c’est réel). Les êtres concentrés sur leur futur sont des angoissés, de style rétractés, avec une forte tendance à la nervosité et à la paranoïa. Courir partout sans écoute de notre monde intérieur ne mène nulle part (masculin blessé). Pour ne pas être pris par ces mécanismes ancestraux, je vous invite à rejoindre le moment présent, le moment présent est ce moment parfait où tout se rencontre, la verticalité et l’horizontalité, le masculin et le féminin, le temps n’est plus un ennemi, nous devenons l’espace et le temps.
Où est passé l’inspiration qui s’amplifie quand je me connecte à l’autre ? N’est-ce pas cette figure de l’autre que je blâme d’ailleurs si souvent, cet autre extérieur… prétexte de toutes mes projections… reflet de mon propre manque d’amour intérieur ? La dualité commence entre Soi et Soi, ainsi ce désespoir intérieur se reflétera encore et toujours tant que nous ne conscientiserons pas que ce que nous émettons nous revient invariablement.
Prenez bien soin de vous et n’hésitez pas à m’écrire dans la rubrique « contact »
Théo Aldaminiel
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