est une des plus belles constellations du ciel. Parmi les
rouge qui se situe à l'épaule droite d'Orion. Elle est 630 fois plus grande que notre
.
On y trouve également Rigel qui se situe au genou gauche d'Orion. C'est
une supergéante bleue qui est 80 fois plus grande que notre Soleil.
Enfin l'étoile Bellatrix est une étoile plus modeste qui se situe à
l'épaule gauche d'Orion. Au centre de la constellation, on peut y
trouver aussi 3 étoiles : Alnitak, Mintaka et Alnilam qui forment le
ceinturon d'Orion, et qui sont appelées également "les trois rois" ou
encore "les trois mages".

Voyons tout d’abord à quoi ressemble la constellation d’Orion, vue par la
Nasa en regardant
cette vidéo. Il paraîtrait que le nom de la constellation
d’Orion se disait Sah en Egypte Antique. D’où le nom de la célèbre pyramide de
Memphis, lieu principal du culte de Ptah, SAQQARAH, en vérité
SAH-KA-RÂ ou encore Orion-coeur du Soleil.
L’archéologue Egyptien Selim Hassan aurait été le premier à considérer les
pyramides comme liens avec les étoiles. (Selim Hassan (1893-1961) auteur de
« Encyclopedia of Ancient Egypt en 16 volumes). D’autres suivirent Selim Hassan
et affirmèrent que les pyramides de Gizeh étaient directement reliées aux trois
étoiles d’Orion :
. Kheops à Mintaka ou Delta
d’Orion, . Khephren à Al Nilam ou Epsilon
d’Orion . Mykerinos à Al Nitak ou Zéta
d’Orion. Ci-dessous, image extraite du livre de Geoffroy Cornelius et
Paul Devereux aux Ed. Solar : Le langage secret des étoiles et des planètes.

Quand à l’alignement des pyramides sur Orion, il semble parfait.
Cette coïncidence parfaite des galeries internes
des pyramides avec Orion eut notamment lieu « au millimètre près » en 10500 av
notre ère. De là naquit la théorie de Bauval (Robert Bauval, écrivain,
ingénieur en travaux publics d’origine belge, né à Alexandrie, passionné
d’égyptologie et d’astronomie), connue sous le nom de « Corrélation d’Orion« .
Elle se base entre autre sur la précession des équinoxes un phénomène
parfaitement connu et prouvé aussi bien par les astronomes que les astrologues,
qui savent cela depuis l’ère chaldéenne. La précession est dûe à la rotation de
la Terre, ce qui modifie les positions des constellations par rapport à nous,
tous les 25980 ans. En 2 500 av. notre ère, Bauval et son ami Hancock (lui aussi
écrivain et chercheur) constatèrent que l’une des galeries sud de la grande
pyramide était très exactement orientée vers Sirius, étoile associée à la déesse
égyptienne Isis. L’axe des autres galeries sud se prolongeait vers la plus
proche des trois étoiles du Baudrier d’Orion. Selon l’ancienne religion solaire
de la vallée du Nil, cette constellation était censée abriter le dieu Osiris, à
l’époque du « commencement » ou encore Zep Tepi. Pour de plus en plus de
chercheurs ou personnes tout simplement intéressées par ce phénomène, il
apparait évident que la construction des pyramides est antérieure à celle datée
par les archéologues et remonte justement à 10500 ans avant notre ère. Elles
auraient été bâties juste après l’engloutissement de l’Atlantide, autre création
de Ptah (Aah-Mem-Ptah ou coeur ainé de Dieu) et autre déluge.
La connexion à Orion montre la connaissance des Néphilims
bâtisseurs, qui usèrent de l’effet de résonance pour se connecter à la
constellation d’Orion, lien sans doute particulièrement utile entre deux
orbites de Nibiru. Hermès le Trismégiste, le 3 fois grand, que beaucoup associe
à THOT, aurait écrit : « Orion préside au Conseil des Constellations. À sa
gauche, sous ses pieds, brille Sirius, Phare de notre galaxie. À droite,
au-dessus de sa main gauche, scintille « l’Œil de Dieu »: Aldebaran, réglant le
ballet des étoiles au rythme de la musique des sphères… » Car en effet, AVANT
Sirius était à Isis et Aldébaran la constellation du Taureau dédié à Enlil…
Avant ce sale Anu !
De plus, toutes les pyramides
du monde sont orientées vers Orion. Egyptiennes, Mayas, Aztèques, comme
le montre
la vidéo en début de message. Mais le plus étonnant sont
celles de Chine. Nos Dieux viennent d’Asie, l’origine de l’Humanité est là-bas
et non pas en Sumérie. Puis, ils ont essaimé leurs connaissances partout sur
Terre. Par exemple, THOTH devint le « serpent à plumes » d’Amérique Latine.
Partout où Enki et ses fils, Thoth notamment, s’intallèrent, des constructions
monumentales, des technologies, des connaissances à ce jour inégalées, furent
transmises aux hommes. Ou ils furent visiblement aidés à bâtir
« l’imbatissable » à cette époque !
Source : http://enki-satya-yuga.com/